vendredi 28 octobre 2016

LA SÉNILITÉ N'EST PAS UNE FATALITÉ

Nos huit conseils pour lui échapper


Michel Dogna






Savez-vous que, à n'importe quel âge, votre cerveau a le pouvoir de fabriquer de nouveaux neurones ? Néanmoins, si vous allez visiter des maisons de retraite, vous constaterez que chez la plupart des pensionnaires, l’organe le plus atteint, c’est le cerveau.

Or, une loi physique immuable à retenir est que tout organe ou fonction laissés au repos dégénèrent rapidement – c’est vrai pour un muscle qui fond comme beurre au soleil lorsqu’il n’est plus jamais sollicité, c’est vrai pour le cerveau.

Normalement, notre programme génétique est prévu pour que la production de nouveaux neurones ne s’arrête jamais, mais à la seule condition qu’il y ait un besoin fonctionnel. Des chercheurs ont observé que dans l'hippocampe, région du cerveau spécialisée dans la formation des souvenirs et la gestion des émotions, les anciens neurones étaient remplacés par d'autres, fraîchement produits à partir de cellules souches. 

D'après le Pr Pierre-Marie Lledo, qui s'est exprimé sur ce sujet lors d’un colloque en septembre dernier (voir la vidéo ici) des expériences avec les souris ont montré que cette capacité pouvait diminuer, voire même disparaître en situation de stress ou dans un environnement hostile. Au contraire, dans un environnement sympathique, la neurogenèse chez les rongeurs a été multipliée par trois en quelques semaines. 

Voici quelques principes à respecter pour conserver un cerveau jeune jusqu'à la fin de vos jours.
  • Fuir la routine
Oui le cerveau se nourrit du changement. En effet, la stimulation provoquée par le changement entraîne les cellules souches à produire de nouveaux neurones. Il faut, selon Pierre-Marie Lledo, fuir la routine, "respecter la libido sciendi, c'est-à-dire la soif de comprendre et d'apprendre".
En outre, on a toujours constaté que dans l’histoire, les peuples nomades sont globalement plus intelligents que les peuples sédentaires, car ils ont sans cesse à faire face à des problèmes et des adaptations multiples pour assurer leur sécurité et leur survie.

  • Fuir le gavage d’informations
Une saturation d’infos crée un blocage. L'écosystème numérique dans lequel nous vivons entraîne une avalanche permanente d'informations. Selon le médecin "L'information qui nous fait juste savoir est absolument délétère, et n'incite pas le cerveau à produire de nouveaux neurones. Bien au contraire, ce dernier, bombardé d'informations, est alors condamné à l'anxiété". Donc il convient de trier cette information : choisir l'utile, celle qui nous fait comprendre des choses, et se débarrasser de la futilité superficielle qui en fait ne sert à rien et crée, comme dans un ordinateur, un encombrement stérile.

  • Bannir anxiolytiques et somnifères
L'objectif des anxiolytiques et des somnifères est d'empêcher le cerveau qui cherche à comprendre, de fonctionner. Leur consommation permet de mettre le cerveau en "fonction automatique". Leur utilisation chronique crée donc un blocage à la production de nouveaux neurones.

  • Bouger !
Le Pr Lledo explique : "Il nous faut lutter contre la sédentarité car la science nous dit que, en cas d'activité physique, les muscles produisent des substances chimiques nommées facteurs trophiques, qui par voie sanguine, agissent sur le cerveau et particulièrement sur la niche de cellules souches". Voila qui explique la corrélation directe entre une activité musculaire minimum et production de nouveaux neurones.

  • Entretenir des relations sociales quotidiennes
Certaines parties de notre cerveau, que nous ne pouvons pas contrôler, ne sont engagées que lorsque nous sommes exposés à autrui. "C'est ce qu'on appelle globalement le cerveau social. Plus vous cultivez votre sociabilité, plus vous stimulez votre cerveau, ce qui l’oblige à produire plus de nouveaux neurones".

  • Préserver une flore intestinale correcte
Très récemment, les neurosciences, associées avec la microbiologie, ont montré qu'il y a une flore intestinale qui communique en permanence avec notre cerveau. Notre régime alimentaire a donc un rôle important : la consommation de fibres, un régime vivant et varié, incitent à la prolifération de certaines espèces bactériennes concourant justement à la prolifération de neurones. A l'inverse, une nourriture peu variée, riche en sucres rapides, en graisses trans et saturées, et en viandes d’animaux martyrs d’élevage industriel, favorise la prolifération d'espèces bactériennes qui ne permettent plus aux cellules de produire de nouveaux neurones, et cela quel que soit votre âge.

  • Pratiquer une passion
Il semble que ce point apporte la meilleure immunité contre la déchéance et même la maladie. Une activité passionnée ne connaît pas le besoin de se reposer, de s’arrêter pendant le week-end, de partir en vacance pour se détendre et se changer les idées. Pour ceux-là, s’arrêter est une punition. Il s’agit des artistes, des écrivains, des acteurs, des peintres, des danseurs, des sculpteurs, des inventeurs, des chefs d’entreprise, etc., de métiers à risque qui ne permettent pas la médiocrité, ou en recherche permanente de plus de perfection. Ceux-là sont portés par des énergies extérieures qu’ils attirent à eux parce qu’ils fonctionnent en symbiose avec les lois d’évolution de l’Univers. C’est le plus beau cadeau que l’on peut souhaiter à chacun, ceci rendant les heureux élus « inoxydables et imputrescibles » en quelque sorte.

  • Du rire et de la joie de vivre s’il vous plait…
Ceux qui ne rient pas sont déjà des malades en puissance. La nature est joyeuse en dépit de tous les drames et les menaces. Tout est fait politiquement pour vous saper le moral, détruire votre santé, entretenir la crainte voir la peur, afin de vous amener vers les pièges de maladies et de déchéance voués à vous rentabiliser.

Il faut dédramatiser par le rire. Un philosophe a dit : « j’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé ». Être spirituel dans la vie est une gymnastique permanente de l’esprit qui vous garantit un renouvellement constant de vos neurones.

Le rire et la joie de vivre vous garantissent la jeunesse éternelle de votre esprit, l’attraction constante de nouveaux amis y compris parmi les jeunes, enfin de partir élégamment quand votre heure sera venue, plutôt que de finir comme une épave ennuyeuse à la charge des autres.







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LA TRILOGIE POUR BIEN VIEILLIR d’après Gérard W.


Un projet, positif, motivant, important pour vous et pour votre entourage.

Manger — Bouger – Créer.

Graver dans votre mémoire ces trois mots magiques.

Manger = C’est toujours faire sa propre cuisine.Bouger = C’est l’aptitude à se déplacer et à se mouvoir librement.Créer    = C’est penser,  choisir et décider pour soi.


BIEN VIEILLIR C’EST DONC… RESTER LIBRE A.. B.. S.. O.. L.. U.. M.. E.. N.. T. 


  • Pour manger correctement et faire sa propre cuisine
  • Pour bouger et se déplacer sans l’aide de personne
  • Pour penser, créer et décider pour soi.



Lorsque vous devenez dépendant vous perdez ces trois libertés, et vous êtes fini. N’attendez pas cette échéance, préparez-vous avant qu’il ne soit trop tard,

À eux trois ils représentent la raison d’être de ce choix de vie. La liberté commence avant tout par sa propre liberté décisionnelle. Aucun des trois n’est prioritaire, ils sont interdépendants, si un seul fait défaut, nous perdons cette liberté parce que nous perdons la faculté d’autodétermination.

Marcher, manger, penser par personne interposée. Finir sa vie en fauteuil roulant dans un E.M.S. (Établissement médical-social, ou mouroir pour vieux) à la merci d’aides-soignantes pressées, ce n’est pas la bonne voie, ce n’est pas notre choix et ce n’est pas une fatalité.

Vous comprenez pourquoi j’ai appris l’informatique à 65 ans, que j’écris chaque jour depuis cette époque et que vous avez le privilège de lire mes mémoires sur Amazon et mes conseils de santé sur ce blog ou chez vous confortablement installé sur votre canapé avec une tablette de lecture sur les genoux et un coussin derrière la nuque.

Attention créer, ce n’est pas être répétitif. 

Créer : c’est apprendre et étudier  -  L’histoire, l’informatique, les langues, le I-King, etc.
Créer : c’est écrire  -  un roman, des poèmes, vos mémoires, etc. —
Créer : c’est dessiner, peindre, sculpter, etc.
Créer  : c’est inventer — des recettes, des techniques nouvelles.



Seule la création récente et inventive favorise la production de nouvelles connexions neuronales, qui vont supprimer ou ralentir la dégénération cognitive due au grand âge.











Yes you can ! 

Oui vous pouvez le faire, quelle que soit votre situation…à condition que vous n’ayez pas succombé à la tentation des pilules magiques de votre médecin contre le blues et la déprime !   😱


                                       











                                                                                                               

mercredi 26 octobre 2016

DU MISO CONTRE UN MONDE RADIOACTIF

par Michel Dogna - février 2016

QUELQUES CUILLÈRES DE MISO CONTRE CE MONDE RADIOACTIF.




Bonjour,

Vous me reprochez souvent d’être catastrophisme, d’entretenir les peurs, et cette semaine, une nouvelle fois, en lisant à quoi sert le miso (plus bas), vous allez me dire que nous faisons encore une crise de parano. Vous avez un peu raison, nous voyons les catastrophes arriver avant les autres et nous ne pouvons pas nous empêcher de vous les signaler. Soyez pourtant certains qu’elles arriveront, ce n’est qu’une question de temps et seules les modalités nous échappent.

Pour en rajouter une couche, je voudrais aborder dans cet édito un sujet qui n’a, semble-t-il, que peu de rapport apparent avec la santé : l’économie du monde. Elle va mal, ce n’est un secret pour personne, sauf qu’on vous dissimule à quel point elle est malade.

Nous entrons maintenant dans la phase critique qui précédera une crise comme nous n’en avons jamais vécu jusqu’ici. Déjà, la confiance s’évapore et fait place à la peur.

Chacun prend peu à peu conscience que l’économie du monde repose sur un endettement massif, sur un tas de fausse monnaie imprimée par des banques centrales aux abois et sur les anticipations erronées de la Bourse. Tous les pays émergents vacillent (y compris la Chine et la Russie), les États-Unis tentent de dissimuler leur fragilité, le Moyen-Orient se déchire. Tout cela va finir mal, très mal, et nous, les « braves gens », nous serons ceux qui paieront le plus cher l’impéritie de nos dirigeants.

C’est pourquoi je vous supplie aujourd’hui de vous rendre aussi autonomes que possible, sur tous les plans et le plus vite possible. Ne comptez sur aucune organisation extérieure pour vous venir en aide le moment venu, les dirigeants desdites organisations seront bien trop occupés à sauver leur propre situation.
On peut se débrouiller seul — nos aïeux ont toujours fonctionné comme ça — mais pas dans l’improvisation. Quand je dis seul, j’exagère, ce sera avec vos voisins, vos amis, vos proches, mais sûrement pas avec Pôle Emploi, la Sécurité sociale, votre banque ou la grande surface d’à côté. Tout cela va disparaître dans un collapsus général.

Cette semaine, justement, Michel Dogna nous donne un moyen simple et peu onéreux pour nous protéger d’une de ces menaces qui planent sur vous. Il nous parle du miso, ce truc qui sent fort et goûte trop salé, mais qui est si bon pour la santé.

QUELQUES CUILLÈRES DE MISO CONTRE CE MONDE RADIOACTIF.

Chacun se rappelle que le 9 août 1945, la ville de Nagasaki fut rasée par une bombe atomique. Des dizaines de milliers de Japonais moururent immédiatement, beaucoup d’autres agonisèrent pendant quelques jours avant de s’éteindre et plusieurs milliers décédèrent, plus tard, de leucémie ou de cancer.
Mais un petit nombre survécut sans séquelles. Un miracle ? Pas tout à fait. Parmi les personnes épargnées figuraient notamment le personnel et les patients de l’hôpital Saint Francis dirigé à l’époque par le Dr Shinichiro Akizuki, qui, lui aussi, survécut.

La seule explication rationnelle que le Dr Shinichiro Akizuki put trouver à cette étrange immunité fut le régime alimentaire que tous avaient suivi dans les semaines précédant le bombardement. Le Japon, durement affaibli et désorganisé, n’avait en effet plus les moyens d’entretenir ses équipements publics ni de nourrir les personnels qui y travaillaient et, àl'époque, il fallait se débrouiller avec ce que l’on avait.

À l’hôpital Saint Francis, il restait une importante quantité de riz complet, un peu de tamari (à l’époque, il s’agissait du liquide des bacs de fermentation du miso) et du wakamé (algue utilisée pour faire la soupe au miso). Pendant plusieurs semaines avant l’explosion de la bombe, le personnel avait donc mangé presque exclusivement du miso. Rappelons que le miso est une pâte d’aspect beige à marron obtenue à partir d’un mélange de soja fermenté, de sel marin (ce qui lui donne son goût extrêmement salé) et d’une enzyme de démarrage de la fermentation appelé kōjikin (chez nous, Koji) contenant l’Aspergillus oryzae, une moisissure noble aussi utilisée pour produire le saké.

La soupe au miso pouvait-elle prémunir contre la radiation ? Le Dr Akizuki fit plusieurs expériences sur les rats pour confirmer son intuition et, chaque fois, les résultats furent probants. Mais il ne découvrit pas comment le miso agissait.
Protecteur contre la radioactivité et chélateur des métaux lourds.

Ce n’est que vingt ans plus tard que d’autres chercheurs japonais, parmi lesquels le Dr. Morishita Keiichi (aussi "inventeur" de l’eau Kangen), découvrirent enfin que le miso contenait de l’acide dipicolinique, un alcaloïde qui offre la particularité de chélater les métaux lourds tels que le strontium radioactif, le plomb, le mercure, le cadmium... et de les éliminer par les voies urinaires. Rappelons que la chélation est un processus physico-chimique qui conduit à la formation d’un complexe stable, inactif, non toxique, soluble et facilement éliminé par voie rénale.

Depuis, d’autres études ont été menées sur cette question. En 2001, notamment, une étude menée par le Dr Masayuki Ohara de l’université d’Hiroshima a permis d’observer que plus la fermentation du miso était longue, plus il offrait une protection efficace contre les radiations.

On sait désormais officiellement que le miso renferme également de la zycobine capable de s’associer aux substances radioactives pour faciliter leur élimination. Il s’avère donc très utile pour empêcher les maladies engendrées par les radiations et les pollutions liées aux nouvelles technologies du nucléaire.

D’autres propriétés du miso
Le miso a bien d’autres propriétés que je ne détaillerai pas ici, mais des études ont prouvé qu’il était efficace dans la prévention contre les cancers du sein et du côlon. C’est aussi un régulateur gastro-intestinal car il contient plus d’une cinquantaine d’enzymes différentes (digestives, entre autres). Il est également riche en lactobacilles et autres micro-organismes utiles qui améliorent la digestion, enrichissent la flore intestinale et permettent même de surmonter certaines intolérances alimentaires.

Pourquoi je vous raconte tout cela ?
Les raisons sont multiples et de plus en plus nombreuses.
L’accident survenu à la centrale de Fukushima provoque en ce moment même une dispersion dans les océans d’une forte radioactivité.

Il faut également rappeler qu’avec nos 58 centrales atomiques en France, nous sommes le territoire le plus dense en réacteurs nucléaires au monde. Nous abritons par ailleurs 1100 sites de déchets radioactifs toxiques.

Tous les aliments importés sont soumis à une ionisation (traduisez irradiation nucléaire). Les traitements par radiothérapie se multiplient et ne sont rien d’autre que des irradiations puissantes.

Le nucléaire médical, via la scintigraphie, mais aussi les radios et les scanners, est une des principales sources d’irradiation, totalement passée sous silence aujourd’hui.

Il faut en déduire que, même sans qu’une bombe nucléaire explose, nous sommes largement exposés à la pollution radioactive. D’où l’intérêt du miso.

Comment le consommer pour se protéger ?
En cas de pollution radioactive : 1 cuillère à café de la pâte dissoute dans un bol d’eau chaude — 4 fois par jour.
En préventif : 1 bol matin et soir.

Suite à une radiothérapie ou à un examen par scintigraphie (osseuse, thyroïdienne, cardiaque...) : 1 cuillère à café quatre à cinq fois par jour dans une tasse d’eau chaude pendant deux semaines.

Ce produit se garde indéfiniment et ne coûte pas cher. Il convient d’en stocker d’avance pour toute la famille, sachant qu’en cas d’alerte, il risque de se produire une ruée sur le miso. Il faut savoir aussi que l’on ne fabrique pas du miso en 8 jours : plusieurs mois de fermentation sont nécessaires.

Et au cas où le pire se produirait.


Tchernobyl 26 avril 1986

En cas de contamination radioactive.

Pendant les 8 premiers jours, essayez de rester chez vous, le temps que les valeurs de rayonnement retombent à des niveaux moins dangereux, et contrôlez les prises d’air de la maison par des filtres ou des chiffons mouillés.

Respirez au travers d’un linge mouillé si vous n’avez pas de masque. Une poussière chargée d’un radioélément qui se loge dans un poumon crée un foyer chaud pouvant entraîner une microradiolyse locale, et peut-être un départ de cancer.

Douchez-vous souvent et lavez systématiquement les vêtements qui ont pu être en contact avec de la poussière.

Ayez en tête que la radioactivité est surtout véhiculée par les poussières. Le jeu consiste à éviter de les toucher, de les respirer et de les ingérer (aliments pollués).

Pour sortir, couvrez-vous d’un survêtement imperméable qui n’accroche pas la poussière.

Enfin, rappelez-vous que nous avons quand même une capacité d’élimination des radioéléments ingérés par les voies urinaires, qu’il faudra peut-être stimuler chez certains (diurétiques).

Alimentation après le passage d’un nuage radioactif 60 % des contaminations internes des victimes de Tchernobyl ont été véhiculées par les produits laitiers. C’est logique : l’herbe ayant reçu de la pluie radioactive est broutée par les vaches qui donnent du lait radioactif… D’où la crème, le beurre et le fromage contaminés.

Tous les légumes et fruits doivent être abondamment et soigneusement rincés.
Évitez les champignons aériens, le thym et les herbes de Provence qui absorbent et concentrent spécifiquement les radioéléments.

L’eau de pluie est le second agent transmetteur direct.


Michel Dogma — février 2016


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 de Gérard Wenker

Dommage que Georges Ohsawa n’est pas cité. Il a été un des premiers en 1966 a à recommander le miso, le sel et le tamari en cas de forte contamination radioactive du à un accident nucléaire.

Petite précision, l’hôpital Saint Francis dirigé à l’époque par le Dr Shinichiro Akizuki, a vu affluer les premiers blessés atteints par le feu nucléaire. Aucun médecin de cet hôpital n’avait la moindre idée de la cause réelle des symptômes présentés par ces personnes.

Beaucoup présentaient de fortes hémorragies cutanées. Devant cette situation inusitée, le Dr. Akizuki administra immédiatement le seul traitement prévu dans ce cas par la médecine traditionnelle japonaise : sel et miso, et… même pour les cas les plus désespérés, plusieurs cuillères de miso à avaler pur.

  • Recette de ma soupe miso énergétique :





Dans une casserole en inox.
  • Verser une c.s. d’huile de sésame ou de tournesol.
  • Chauffer l’huile sans fumée.
  • Émincer un oignon et le faire revenir.
  • Lorsque l’odeur piquante à disparu verser un 1/2 l. d’eau.
  • Ajouter un ruban de 10 cm. d’algue wakame.
  • Ajouter 2 champignons shiitakes (préalablement trempé) 
  • Une c.c. de gingembre râpé. 
  • Couper fin une poignée de légume sauvage ou de légumes verts.
  • Couvrir et cuire 1/2 heure à feu doux. Éteindre.
  • Délayé directement dans la casserole, une grosse c.s. de miso.
  • Une fois par semaine, mettre un œuf cru frais et fécondé dans un bol et verser le bouillon miso dessus, agiter à la fourchette. 
  • Ajouter persil ou ciboulette. Boire chaud.

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Recette du Kacha steak. (Le kacha est du sarrasin grillé.)

En hiver, consommez du sarrasin chaque jour : La céréale des pays froids.
1 bol de kacha déjà cuit
1 cuillère de hatcho miso
2 c.s de farine complète
1 c.s. de tahin (purée de sésame)
Pétrissez le tout et formez des petites galettes rondes.
Dorez-les dans une poêle huilée bien chaude.
Assaisonné de quelques gouttes de shoyu et parsemés de persils.
Attention c’est du yang puissant.

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Bouillon Miso aux algues.

Préparer un bouillon d’algues kombu ou wakame. 
Couper les algues en morceaux d’un centimètre.
Cuire 1 heure dans 1 lt. d’eau jusqu’à réduction de moitié.
Ajouter une grosse c.s. de miso.
Boire chaud avec les algues.



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G.Wenker
26 octobre 2016



















vendredi 21 octobre 2016

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