vendredi 21 octobre 2016

LA GRANDE PEUR DE VIEILLIR.

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EMS ou USP ? AH NON PAS ÇA !



EMS OU USP = Etablissements  Médicaux Social ou Unité de Soins Palliatifs.

Beaux titres, nous voilà rassuré, ça à l’air sérieux.



En dernier ressort, il y a toujours EXIT OU DIGNITAS. (Suisse)


Non pas ça. Quoi… pas ça ? 

“ Non pas ça“, s’adresse en priorité à tout ceux qui…un jour… deviendront vieux. C’est à dire nous tous…enfin presque!

Non pas ça“, c’est pas finir sa vie comme ça…




– Affligé par toutes ces terribles maladies attribuées à la vieillesse.
Maladies neuro-dégénératives :Alzheimer, Parkinson, Sclérose en plaques, Démence, etc.
Maladies XYZ : AVC, cancer, gangrène, nécrose, maladies cardio-vasculaire,etc.
Passer tes dernières années de vie à faire joujou dans une crèche avec des personnes retombées en enfance.
Pour terminer sa vie dans une unité de soins palliatif qui essaie de te maintenir en vie envers et contre tout et souvent  contre ta propre volonté.
Eh ben voilà, c’est réglé en 12 points.
Tout est fait, pour normaliser et rendre, non pas acceptable, mais inévitable, cette procédure qui semble bénéfique pour tout les peuples de la terre.










Cet article est un violent réquisitoire contre un système qui tient comme acquis que nous finirons tous, — délabré, sénile, croulant — et qui a mis en place une stratégie qui se dit sociale supervisée par les puissants lobbys des multinationales destinés à planifier par tous les moyens l’imminente invasion de vieillards indigents improductifs.


Tenez… votre médecine ! mettez-la où je pense dans le trou du c… à la place du thermomètre.



Oui… je sais, c’est violent, mais être intoxiqué par une chimiothérapie, brulé par des rayons, disséqué, découpé, drogué et au final mourir quand même, c’est criminel. Oui… je sais nous allons tous mourir un jour, mais je préfère la manière douce, que je préconise dans ce manuel pour les « Nonpaça ».

***


A l’aube de mes 84 ans, je peux vous parler de ce que je connais bien, les bébés (5 avec moi), les papys (moi et tous les autres). La vieillesse ; des vieux et des vieilles de toutes les catégories, des actifs, des créatifs, des sportifs, des dépressifs, des agressifs, des poussifs, etc. donc j’en parle.
De notre conception à notre mort, la vie est conçue comme un chemin d’initiation, un cycle d’expériences successives. La roue tourne sans cesse, elle se déplace dans le temps et dans l’espace après chaque tour, elle revient à son point de départ. Chaque instant, chaque jour, chaque livre, chaque rencontre sont un nouveau début. Chaque moment est un renouveau. La vie ne commence à faire mal, très mal, très douloureuse, que lorsque nous ne nous laissons pas porter par son courant.
Retenir le flux de l’existence, c’est oublier que la vie est l’art de la métamorphose. La personne que vous avez devant vous a déjà enterré un enfant, l'enfant qu'elle a été, un enfant joyeux qui chantait, jouait, dansait, pleurait ; j’ai enterré aussi un adolescent, un jeune père. J’ai enterré un homme mûr. Et j’enterrerai bientôt le vieillard qui est en moi ; puis le très vieil homme ; puis, le mort qui fera le passage vers l’autre rive. 
Ainsi, chaque fois que j’ai quitté un espace, je suis entré dans un autre . 
Ce n’est pas facile. C’est dur de quitter le pays de l’enfance ; c’est dur de quitter le pays de la jeunesse ; c’est dur de quitter l’épanouissement de l’homme adulte et encore plus difficile de mettre un point final au dernier chapitre du grand livre de sa vie.
D’un pays à l’autre, d’un espace à l’autre, il y a le passage par la mort et une résurrection dans l’inconnu. Je quitte ce que je connaissais et je ne sais pas où je vais. Je ne sais pas où j’entre. Mais, puisque plusieurs fois déjà j’ai fait l’expérience qu’en quittant un « pays » j’entrais dans un autre d’une égale richesse sinon d’une plus grande richesse, pourquoi donc hésiterais-je devant la vieillesse, devant ma mort ?

***

N’ATTENDEZ PAS



Je me propose dans cet article d’argumenter sérieusement mes objections sur ces pratiques d’exclusion et d’élimination des personnes âgées devenue inutiles, mise en place par notre société capitaliste médico-scientifique.



Mise en garde :
À toutes les personnes hermétiques, cartésiennes, matérialistes, scientifiques, émotives, passives, peureuses, malheureuses et sans foi – soit environ 95 % de la population des pays occidentaux – ces lignes ne vous sont pas destinées ni recommandées, risque d'étouffement, de suffocation, d'apoplexie, dont nous sommes totalement responsables.

L’imposture de la médecine allopathique.

Paradoxalement à travers une complexité apparente, 3 termes caractérisent la médecine moderne : symptomatique, réductionniste, simpliste.
Symptomatique :
Elle ne recherche pas la véritable origine de la maladie, la relation de cause à effet. La médecine allopathique s’intéresse en priorité à faire disparaître les symptômes apparents de la maladie, et cela quel que soit le prix à payer ; en souffrance, en affaiblissement de l’énergie vitale et en argent. 
Réductionniste :
Le réductionnisme ramène la complexité du vivant à de simples interactions physico-chimiques et le développement des maladies, à un problème inconnu ou génétique.
Simpliste : 
Elle ne s’occupe pas des effets à long terme des médicaments et de leurs interactions toxiques.
Elle considère l’homme comme une entité indépendante, sans interférence avec son environnement.
Elle n’intervient jamais sur le mode de vie des malades, principale source de la majorité des maladies, en particulier l’alimentation, l’alcool, le manque de sommeil, le stress.
Malgré une réalité beaucoup plus restreinte et de loin moins efficace que ce qu’on nous laisse croire, cette médecine n’a jamais été remise en question depuis plusieurs siècles.
Un puissant lobby pharmaco-médical veille et a réussi au cours du temps, à cadenasser totalement le système : aucune critique, aucune remise en question, malgré des coûts exorbitants, et une impuissance manifeste à éradiquer la plupart des maladies.
Mais le plus grave, c’est que ce système quasi totalitaire, ne supporte pas la concurrence d’autres méthodes plus holistiques, même si elles ont fait leurs preuves depuis longtemps — au cas où elles pourraient être plus efficaces et moins coûteuses —. 
Tout est bon pour conserver une hégémonie exclusive et profitable de la plus puissante organisation économique mondiale, sur la communauté humaine la plus nombreuse et la plus dépendante, celle des malades : 
Désinformation – Manipulations – Mauvaise foi – Statistiques erronées – Peur – Exclusivisme – Lobbysme – et même escroquerie à grande échelle, etc.
50 ans de recherches ruineuses sur le cancer, sur la mucoviscidose, sur la tuberculose et même sur la banale grippe ou le simple rhume, n’ont pas permis d’entrevoir le moindre signe d’une véritable guérison de ces maladies. C’est toujours un problème d’argent ou d’ignorance fondamentale.
Les appels de fonds mensuels, et autres téléthons annuels, sur fond de chantage – donner vos sous et nous vaincrons toutes les maladies qui s’acharnent sur vous, – n’ont servi jusque-là qu’à décrypter le génome humain, pour découvrir que les soi-disant responsables de ces multiples dérèglements mortels, sont “ les fameux gènes”, et lorsque ce n’est pas génétique, c’est viral, les virus. C’est à mourir de rire, oh… Excusez-moi.
Mais pourquoi ces gènes qui se sont transmis depuis des centaines de générations s’altèrent-ils subitement, et comment ces gènes dégradés peuvent-ils devenir héréditaires ? Silence pesant dans l’assemblée des scientifiques.
Et les virus, si performants dans leur pouvoir d’adaptation — mais la plupart du temps dormant — pourquoi deviennent-ils subitement si virulents ? Pas de réponse des chercheurs.
Bravo la confrérie des médecins, c’est ce qui s’appelle botter en touche, plus de responsables, ni parmi le corps médical, ni parmi les malades du corps. Tout le monde est excusé puisque ce sont les gènes et les virus, les seuls et uniques responsables. En attendant la proportion des personnes atteintes de maladies graves et de la morbidité qui y est liée, progresse d’une manière exponentielle ; et ne parlons pas des coûts et des primes d’assurance, ce n’est pas le sujet, mais quelle meilleure preuve d’incompétence.
La seule et unique raison qui permet à cette situation de se perpétuer sans une révolte générale, c’est la peur, peur de souffrir, peur de mourir et en plus il est bien commode de se décharger de ses propres responsabilités et de ses angoisses sur le puissant monolithe technique médical qui vous prend en charge jusqu’à la FIN. Enfin prend en charge vos organes et votre corps biologique, — mais pas l’homme en tant qu’être humain, faut pas trop en demander.
Mais il y a quand même une justice paradoxale : les protagonistes à tous les niveaux que ce soit, de cette médecine autocratique, depuis la modeste infirmière au PDG des multinationales pharmaceutiques, personnes n’échappent à terme, aux griffes mortelles de la MALADIE.
Allons cette médecine palliative réductrice a encore de beau jour devant elle, à moins que ce soit elle qui finisse par faire peur ou qu’elle ne manque de matière première, c’est-à-dire : Nous. Non rassurez-vous, ce n’est pas que nous serons tous en bonne santé, c’est que nous serons tous morts, fin de l’espèce humaine.
Et l’opposé de cette médecine scientifique qui était destinée à nous guérir et à éradiquer les grandes pandémies mondiales.
C’est :
  • Aller à l’hôpital pour en ressortir plus malade qu’en y rentrant !
  • Détruire (ablations) au lieu de reconstruire !
  • Permettre l’euthanasie active ou passive au lieu de soigner pour guérir !
  • Maintenir en vie des personnes contre leur gré !
  • Créer des nouvelles maladies (nosocomiales) au lieu de les supprimer !
  • Supprimer une maladie pour la remplacer par une plus virulente (maladies iatrogènes) !
  • Affaiblir les systèmes immunitaires au lieu de les renforcer ! — Et en parallèle, renforcer la résistance des bactéries et des virus par les vaccins.!
  • Mutiler un bien portant (greffe) pour prolonger la vie d’un autre !
  • Prélever des organes sur une personne saine qui vient de mourir, pour les greffer sur un malade qui ne s’est jamais préoccupée de sa santé. 
  • C’est également :
  • Avoir développé un modèle totalitaire de médecine : – chère — élitiste — technico-scientifique, spécialisée, incompréhensible, etc.
  • Rendre cette médecine inaccessible à une grande partie de l’humanité !
  • Interdire, détruire ou ridiculiser toutes les médecines différentes : coutumières, familiales, chamaniques, énergétiques, holistiques, etc.
À l’opposé de cette médecine, nous trouvons bien entendu une médecine globale, holistique préventive et humanitaire : la médecine taoïste macrobiotique.
Le plus grand progrès pour l’humanité et la plus grande efficacité pour les malades au cours de ce 21ème siècle, serait d’associer étroitement ces deux médecines, qui se complètent parfaitement, avec comme unique but, le bien-être des malades et non comme c’est le cas actuellement de donner la priorité à un modèle économique, où le malade n´est plus qu’un produit rentable dans la colonne profit des gestionnaires de soins.
Pour que ce rêve ne reste pas une utopie… pour que cette médecine plus humaine ainsi que toutes les méthodes de soins parallèles deviennent une alternative de vie pour tous et non pour quelques Bo-Bo privilégiés ou pour quelques richissimes personnages ayant abusé des plaisirs de ce monde.
Pour que l’humanité ne disparaisse pas, engloutie sous une montagne de détritus et asphyxiée par la pollution.
Qui peut stopper cette machine infernale qui va tout détruire, et qui va faire disparaitre l’homo sapiens, les animaux, les végétaux de la surface du globe, qui pollue et stérilise l’air, les mers et les terres, qui veut transformer la nature luxuriante terrestre en un paysage lunaire, pour finalement aller sur la lune pour la modifier afin qu’elle soit capable d’accueillir les hommes quand la terre ne sera plus viable.
Mais qui alimentera la « Machine Broyeuse de Vies » quand nous aurons tous disparu ?
Vous pensez que cela n’arrivera jamais… dites-vous… !
Chacun, selon ses croyances, espère qu’il y aura un Sauveur qui stoppera à temps la destruction de la planète et qu’une poignée d’hommes clairvoyants se dressera devant la « Machine Broyeuse de Vies ».
À temps peut-être. Oui… mais quand il ne restera plus que quelques communautés humaines, perdues dans une haute vallée, réfugiées dans les montagnes ou sur une île isolée au milieu de l’océan. C’est déjà arrivé par le passé, La Nature a tout son temps pour reconstruire la diversité et la beauté de la vie. Il faudra des millions d’années, mais la terre s’en remettra, mais ce n’est pas certain qu’il y aura encore des hommes pour admirer encore une fois ce miracle.
Que faire alors : ?????

CHANGER

Longévité : le scénario du pire.


Vivre bien, le plus longtemps possible. 
C’est important, mais il est tout aussi important de s’interroger sur les conséquences collectives de la longévité. 
C’est un sujet essentiel. Peu de gens osent l’aborder, car il fait peur. 
Bientôt 60 000 centenaires en France… si la Sécu ne fait pas faillite
Or, il ne faut pas se voiler la face. 
De plus en plus de personnes s’inquiètent que nous soyons trop nombreux sur cette terre. En particulier, il y aurait « trop de personnes âgées ». Selon l’Insee, la France compte 15 000 centenaires en 2016, elle en comptera 60 000 en 2060.
Cela à condition bien sûr qu’un système soit trouvé pour continuer à financer les besoins des personnes âgées. 
Cependant, il ne faut pas se faire d’illusions. 
Plus le temps va passer, plus la crise économique et financière va s’aggraver, plus le trou de la Sécu va se creuser, plus forte va devenir la pression sur les personnes âgées. 
Personnellement, je n’exclus pas que les soins soient progressivement réduits pour les personnes les plus âgées et les plus malades. 
Les médias préparent l’opinion à des restrictions contre les personnes âgées. 
Restreindre l’accès au soin des personnes âgées, c’est déjà un « marronnier » dans la presse.
Ainsi en août 2012, le journal Le Monde titrait : 
 « Les personnes âgées dépendantes prennent trop de médicaments. »
En septembre 2013, le journal Le Figaro titrait : 
« Les personnes âgées prennent trop de médicaments » (notez le glissement du sens, avec la suppression du mot « dépendantes »).
Le 22 octobre 2015, RTL annonçait : 
« Attention, les personnes âgées prennent beaucoup trop de médicaments » (cette fois, le ton devient alarmiste).
Puis à nouveau cette année, le 9 mai 2016, dans le journal Le Monde : 
« Trop de prescriptions inappropriées pour les personnes âgées »
On est en train de prépare l’opinion publique. 
Les prestations santé dramatiquement réduites
D’ici peu, les autorités nous expliqueront que, « pour leur bien » (c’est très important dans la tactique), il est nécessaire de restreindre la consommation de médicaments des personnes âgées. 
Des consignes seront données aux médecins, d’abord sur la base du volontariat. 
Puis, comme cela n’aura pas suffi, un membre du gouvernement annoncera qu’une politique « volontariste » va être lancée pour résoudre le problème. 
« Volontariste » est ce terme bizarre employé quand, justement, une décision est imposée contre la volonté des gens. 
On vous dira : 
 « Chère Madame (ou cher Monsieur), il existe un traitement efficace contre vos douleurs ou votre maladie. Malheureusement, vu le coût et vu votre âge, les soins ne sont plus pris en charge. »
Bien entendu, ces mesures seront justifiées par un appel à la « responsabilité » et à la « solidarité » des citoyens. 
« Pousser les vieux vers la sortie »
Ce n’est pas pour rien que la presse publie régulièrement des articles dérivés d’un célèbre texte intitulé « Le coût des derniers mois » publié dans le magazine La Recherche en 1999 : 
« L’âge entraîne une accélération de la consommation individuelle de soins. En outre, les pathologies traitées sont plus coûteuses. Si l’on exclut les personnes ne consommant pas de soins, la prise en charge annuelle moyenne par le régime général de l’assurance maladie des personnes entre 70 et 80ans est le triple de celle des 20-30 ans. Et l’écart s’accentue encore aux âges les plus élevés : les personnes de 80 ans et plus coûtent en moyenne deux fois plus cher au régime général qu’une personne de 60 à 69ans dans la même situation.» 
Habituer la population à l’idée que « les vieux coûtent trop cher » est une étape essentielle de la stratégie. 
Après avoir pris comme prétexte de combler le « trou de la Sécu », d’autres arguments du type « équilibrer le système des retraites » ou même « protéger l’environnement » seront utilisés pour « pousser les vieux vers la sortie ».
La solution pour éviter ce scénario du pire n’est pas évidente. 
Elle passe certainement par un changement des rapports entre les jeunes et les personnes âgées dans la société. Les solidarités familiales sont appelées à reprendre le rôle prépondérant qu’elles ont toujours eu. Les jeunes s’occuperont des anciens. 
Réciproquement, les anciens doivent, dès aujourd’hui, se préoccuper de la capacité des jeunes à les assumer, le moment venu. 
Tout aussi important, ou plus important encore, chacun doit reprendre le contrôle de sa propre santé. Cesser de s’en remettre à un système de « prise en charge » qui, un jour ou l’autre, peut arrêter de fonctionner, ou devenir fou. 
À ce moment-là, les personnes qui auront pris des précautions, qui auront pris soin de leur santé, qui sauront se passer au maximum de médicaments chimiques et de soins médicaux compliqués, seront les mieux loties. 
Ce sont celles qui sauront se servir des produits naturels, des plantes, des aliments qui soignent, des produits simples comme les vitamines, les cataplasmes, les recettes de grand-mère naturels et peu coûteux… 
* Après avoir vu, au cours de ma vie au long cours, tomber autour de moi — comme sur un champ de bataille — d’innombrables êtres aimés, proches parents, amis, collègues, voisins ; tous, victimes de l’arrogance, de la suffisance et parfois de l’incompétence de la médecine moderne, et de la confiance sans faille mise en elle.
Doté d’un esprit critique et rebelle, j’ai découvert l’impuissance et les limites de la médecine scientifique à la mort de mon épouse, décédée à 35 ans d’un cancer, après avoir été littéralement disséquée par une horde de vampires en blouse verte.
Bon… qu’il y ait des échecs et des limites à cette médecine symptomatique, je l’admets volontiers, mais ce qui est insoutenable, c’est le totalitarisme exclusiviste du corps médical. Jamais aucune remise en question, un esprit de clan qui cultive le secret, avec ses codes, son langage, sa littérature, qui n’admet pas les échecs ni les erreurs de diagnostic. La grande muette c’est plus l’armée, c’est le corps médical et ses nombreux sous-traitants.
Toi, pauvre pékin inculte, malade et tremblant de peur, assis devant un de ces Professeurs Sommités, attendant l’ordonnance de la sentence ; Cancer, Sida, Alhzeimer, Parkinson… et le mode de torture ; opération, ponction, greffe, rayons, chimio, dialyse, etc. — ne vous inquiétez pas, gardez un bon moral, tout va bien se passer, dit-il en vous tapant sur l’épaule, de toute façon il n’y a pas d’autre alternative, au revoir. Merci docteur, merci la médecine, merci la science, ouf…me voilà rassuré, je me couche dans mon moelleux lit blanc électrique, tranquillisé ; je suis en de bonnes mains.
Immédiatement la "Machinal" (contraction de machine et hôpital) se met en marche. Happé brutalement par l’organisation tentaculaire de la pieuvre médicale, malaxé, broyé, trituré, analysé et habillé-blanchi. Exclu du monde des biens portants, ton nom n’est plus — Dupont, Martin ou Schmit mais le lympho-sarcome de la 603, ou le cas intéressant de la 306. Transféré, dans la Ville des "atteints", ta nouvelle adresse c’est : Hôpital Pitié-Espérance — service d’oncologie - No. 603 — pseudo : "Patient 1024".
Parfois, si t’es né sous une bonne étoile et avec une solide constitution, ta maladie va être tuée avant toi et le miracle s’accomplit, tu t’en sors, certes moribond et affaibli, mais toujours vivant. Immédiatement t’es rejeté hors les murs de l’antre de la pieuvre — comme un vulgaire morceau de bidoche inconsommable. Pour mieux t’attendrir, on te file une dizaine de boîtes de bonbons colorés à consommer régulièrement, au cas où ton corps se rebellerait et voudrait en faire à sa tête et prendre les commandes en cas de rechute.
Ça c’est le scénario pour les 95 % des "croyants". Ne mettre que le petit doigt dans l’engrenage de cette machinerie bien huilée, et hop… tout le corps y passe, y compris ta tête et ce qu’il y a dedans. Tu ne le sais pas encore, mais en plus, ce que tu as perdu de plus cher, c’est la liberté sur ta vie et sur ta mort. Perdre son âme pour sauver son corps, c’est le prix à payer pour exister encore un bout de temps.
Pour les autres, les rebelles, les aventuriers, les allumés, les éclairés, les ressuscités, les miraculés – Il existe une autre voie, une autre médecine, une médecine sans médecins !!!, enfin, presque, puisque chacun est son propre médecin.
Menteur, charlatan, imposteur, démagogue — je vous entends hurler, anathématiser, condamner, vous tous, les professionnels de la restauration, les salariés des services de maintenance du vivant :
Sommités, Grands Professeurs, Médecins, Docteurs : spécialistes en spécialités - anesthésistes du cerveau - radiologues qui irradient — IRMistes - généralistes — mettons à part les chirurgiens, tant qu’il y aura des guerres, des attentats, des voitures et des trains qui se crashent, ils seront nécessaires pour le rafistolage des corps déchiquetés par la bestialité humaine.
Mais n’oublions pas les principaux pourvoyeurs-fournisseurs de la "Machinal" ; les "Pharma" en connivence avec les industriels de l’agro-alimentaire, accompagnés de leurs petits soldats aux ordres ; chimistes, biologistes, généticiens, chercheurs ; tous dans le même sac.  Pour eux, un seul credo, le fric et la gloire, à n’importe quel prix. Pour cela, une formule simple, rendre les gens malades, de plus en plus malades, mais attention… sans les tuer immédiatement, ainsi impossible de faire le lien, t’es foutu en 30 ou 40 ans, pas de preuves, pas de liens scientifiques avérés, selon la formule consacrée, le crime parfait.  Tous y trouvent leur compte et entassent leurs milliards sur des milliards de morts, d’insupportables souffrances, des montagnes de désespoirs. 
Absout, non, quand même pas – Une justice tout de même, tout ce beau monde est sur le même bateau, et n’échappe pas à la sinistre faucheuse, qu’ils ont mis en place. Toutes ces maladies sournoises, répandues par leurs soins, ils finissent aussi par en mourir… ouf. Dieu pardonne-leur si tu veux, ils ne savaient peut-être pas ce qu’ils faisaient, mais moi je ne leur pardonnerai jamais, car je suis certain qu’ils le savaient. Tous complices, tous coupables.
La preuve… !! une seule suffira ; pourquoi ne cherchent-ils jamais la véritable cause des maladies, la cause ultime, celle qui mettrait fin à la plupart d’entre elles, celle qui redonnerait l’espoir d’une vie meilleure, sans cette épée de Damoclès en forme de crabe suspendue sur chacun d’entre nous.  
En… mettons 2 à 300 ans, mais particulièrement ces 50 dernières années pas l’ombre d’une piste, pas la moindre idée de génie, malgré les milliards consacrés à la recherche, au contraire, des nouvelles maladies surgissent et parfois resurgissent à tout moment. Hélas, il n’y a aucune chance qu’ils la trouvent dans leurs laboratoires, ni dans les binoculaires des super-microscopes, encore moins dans les gènes, pourtant bien pratiques comme boucs émissaires, — c’est génétique et héréditaire — point à la ligne. Ah oui !! et pourquoi ces gènes s’altèrent-ils ? eux qui ont fait ce que nous sommes, eux qui viennent du fond des temps, eux qui sont à l’origine du vivant — mystère !!!! Pas tant que ça, tous les bio-généticiens le savent — il n’y a que deux choses capables de modifier les gènes : les radiations et les produits chimiques. Je vous laisse conclure.
Toutes professions confondues œuvrant dans le médical, le para-médical, la recherche, l’industrie alimentaire et l’agro-industrie, c’est plus de 500 millions de travailleurs hautement qualifiés, à travers le monde. Un système de santé global brassant des milliards de $. 

Vous vous rendez compte si Jésus revenait et guérissait tous les malades ou si un génie découvrait la panacée universelle !! Ce qui en résulterait, c’est des millions de personnes au chômage et une terrible crise économique. Rassurez-vous… ILS ne laisseront jamais un tel prodige s’accomplir, ni aucune formule infaillible voir le jour. C’est toute la société industrielle moderne, construite par les scientifiques qui serait remise en cause.





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LE BIZNESS DE LA VIE ET DE LA MORT



N'attendez pas d'être vieux pour rester jeune
Demander à un adolescent, ce qu’il pense de sa vieillesse, de sa retraite et finalement de sa mort, ou essayer de vous rappeler l’époque bénie de votre jeunesse ou l’écoulement du temps n’avait pas prise sur vous. La mort était quelque chose de totalement abstrait, la vieillesse si éloignée qu’elle ne pouvait même pas être envisagée et la retraite… l’antichambre obligatoire pour tous, présage de la fin du voyage, bien aléatoire.
N’ayant aucune conscience que la vie est évanescente, la mort présente à chaque instant, et que le temps de l’insouciance si fugace, la jeunesse prend des risques inconsidérés avec sa vie.
Si la chance, le hasard, ou la sagesse vous a permis d’éviter tous les pièges que la grande faucheuse vous avait tendus, et que vous arriviez malgré tous au début de la 3ème étape, ne croyez pas que vous êtes tiré d’affaire.
Les deux tiers du voyage sont faits, reste la dernière étape, la plus courte, mais la plus périlleuse. Comme dans une course, échouer tout près de l’arrivée est vain, ce qui compte c’est de passer la ligne coûte que coûte. 
Après avoir expérimenté toutes les libertés et même quelquefois franchi la ligne rouge, il va maintenant falloir se libérer même de cette liberté-là, pour en atteindre une autre, la liberté spirituelle qui permet de s’engager sur le chemin du retour, débarrassé de tout bagage superflu
Entrons dans le vif du sujet, c’est-à-dire ce qui est appelé vulgairement "la vieillesse — la retraite — le 3ème âge, voir le 4ème . — bref la fin de vie — les vieux. 
Une vie comporte selon l’ancienne spirale logarithmique de l’ordre de l’univers ; en gros trois étapes :
  1. L’adolescence = 20 ans (de 1 à 20 ans)
  2. L’âge adulte = 40 ans (de 20 à 60 ans)
  3. La vieillesse = 80 ans (de 60 à 140 ans)
Total… ? 140 ans, c’est l’âge naturel biologique que nous pourrions atteindre, si… nous ne faisions pas tout notre possible pour raccourcir ce terme.
À ce propos… les hommes, depuis des millénaires, ont démontré une imagination et une ingéniosité débordantes : exemple en vrac
Anthropophagies — Sacrifices humains — guerres —  bombe atomique — napalm — génocides — Jeux du cirque — condamnations à mort — bûcher —  pendaison — guillotiné — fusillé — gazé —  chaise électrique — injection létale — accidents automobiles — alcool — drogue – mal bouffe — famines – pollution – suicide.
Comme si cela ne suffisait pas, depuis l’avènement de l’ère industrielle, soit un peu plus d’un siècle, les hommes ont quitté les campagnes par dizaine de millions, pour se concentrer dans d’immenses mégalopoles insalubres et nauséabondes. Là, ils ont rapidement oublié la relation privilégiée qu’ils avaient avec Mère Nature, qui pendant des millénaires leur avait fourni l’essentiel de leurs besoins vitaux. 
Toutes les connaissances des lois de la Nature, qui ont permis à l’espèce humaine de se développer harmonieusement durant plusieurs millions d’années ont totalement disparu, remplacées par une pharmacopée chimique, des substituts alimentaires artificiels et des conseils diététiques absurdes. Des règles de vie en totale contradiction avec la conservation de la vie se sont substituées aux anciennes traditions qui avaient fait leurs preuves sur des milliers d’années en donnant naissance à des peuples infatigables qui créèrent de magnifiques civilisations, dont nous sommes tous les descendants.
Or, quel que soit l’âge auquel on deviendra vieux, les problèmes du grand âge, c’est-à-dire principalement le handicap, ne peuvent que survenir. La façon dont notre société intégrera et aidera les personnes âgées dépendantes influera sur la façon dont nos populations vieilliront. Et dans ce domaine, tant pour les personnes âgées que pour les handicapés, la France a beaucoup à faire pour rattraper ses voisins européens. Et il ne faut pas oublier le reste de l’humanité, les pays pauvres de notre planète. De qui nous préoccupons-nous réellement quand nous parlons d’espérance de vie humaine ?
L’immortalité reste-t-elle un mythe ? Peut-on imaginer un homme de 150 ans ?
L’immortalité, c’est extrêmement relatif... Parmi les milliers de gènes que contient l’ organisme, certains ont des effets bénéfiques pendant une période de la vie (le développement, la reproduction), puis néfastes à une période ultérieure (le vieillissement). Mais cet équilibre, on s’en aperçoit de plus en plus, est extraordinairement modifiable. Alors, qui sait ? Le verrou de la transgression que représentait la prolongation de la jeunesse est en train de sauter. Peut-être pourrons-nous un jour repousser les frontières de notre propre mort au-delà de 200 ans. Quitte à transformer en chemin notre identité, et à nous fabriquer de nouvelles mémoires..
Depuis 60 ans, pour la première fois, en Europe, on laisse des vies aller naturellement à terme, plus d’abattoirs géants à ciel ouvert, capables d’avaler des millions de vies d’un seul coup, alors bien sûr on se retrouve avec des vieux en surplus et personne ne sait plus qu’en faire... et puis ils coûtent si cher !
Allons l’armée des vieux et futurs vieux ; allons tous les “génaires” ; sexagénaires —  nonagénaires — centenaires et plus si affinité, ce n’est pas encore le moment du repos éternel, bien que chacun devrait être libre de choisir l’instant de se coucher pour une ultime et dernière fois.
Franchement… vous y croyez vraiment ! arriver comme ça, peinard, à 80 ans simplement parce que les statistiques l’ont dit ; mais regardez autour de vous ce qui ce passe. Actuellement ceux qui sont nés avant les deux guerres mondiales ont 85 ans et plus, ils auront bientôt tous disparu, Paix à leur âme. Mais la grande armée des vieux, ceux qui sont en première ligne maintenant sont nés entre les deux guerres — 1930-1940 —, ce qui leur fait 65 à 75 ans (j’en suis) après ça va être carrément l’invasion le papy-boum qui va ruiner les assurances sociales des pays Occidentaux.
Alors là, deux cas de figure ; où les statistiques disent vrai et dès les années 2015, finies les assurances sociales ; caisses de pension à plat, assurances vieillesse et invalidité coulées, EMS débordés ; misère assurée, maintenant ont meurt chez soi de froid, de faim ou d’ennui.
Deuxième cas de figure pas plus réjouissant ; les papys du baby-boum n’arriveront pas jusque là, ils seront morts avant.... de quoi ? Bon s’il faut énumérer, énumérons.
Toujours selon les statistiques officielles pour les pays occidentaux les principales causes de mortalité sont :
1er cause : les maladies cardio-vasculaires (embolie — infarctus – crise cardiaque –    Obésité — accident vasculaire cérébral.) À égalité avec les cancers (poumons - prostate - seins — côlon - vessie - pancréas.)
2è cause : les maladies mentales et les suicides.
3è cause : les BPCO (broncho-pneumopathie chronique obstructive) Doctissimo.fr
4è cause : médecins et services médicaux. (maladies iatrogènes, traitements médicaux)
Suivent :
Accidents de la circulation — accidents du travail – violence urbaine.
Maladies digestives : 
Maladies infectieuses : SIDA — tuberculose - légionellose.
Maladies dégénératives : Alzheimer — Kreuzfeld-Jacob — gangrène.
la dernière cause de mortalité, est la mort naturelle ! Partir durant son sommeil, qui ne rêve pas d’une pareille mort... douce. Eh bien à l’heure actuelle seule 1 personne sur 10 000 bénéficie d’un tel privilège.
Selon une étude Canadienne effectuée en 2004 sur 100 000 personnes ; 70 000 décèdent avant 65 ans. Encore un petit effort et plus personne n’arrivera à la retraite.
Voilà la réalité, d’ailleurs confirmée, si vous jetez un regard autour de vous, par la disparition de la plupart de nos proches contemporains. Et n’oublions pas que les personnes nées avant-guerre avaient une bien meilleure constitution que les générations d’après-guerre.
Le plus dur est de vivre jusqu’à 65 ans ? Passé cet âge, les taux de mortalité sont très faibles. Aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Avant 65 ans les décès sont souvent liés à des morts violentes (accidents ou à des comportements à risques, alcool, drogues, sida, tabac, etc). Une explication pourrait être que les personnes les plus sujettes à des comportements à risque décèdent prématurément et que la population restant en vie est "sélectionnée" pour sa bonne santé et davantage épargnée par la suite.


Si vous êtes toujours en vie à plus de 70 ans, après avoir évité tous les obstacles mortels, mis sur votre route c’est que :
1 ° Vous avez eu un bon jugement au cours de votre vie.
2 ° Vous avez hérité de vos parents une très bonne constitution.  
3 ° Vous n’avez pas abusé de cette énergie vitale reçue à la naissance.
4 ° Vous êtes un homme ou une femme “ bionique “, prolongé de vie artificiellement (organes défaillants remplacés par des greffes ou des organes artificiels)
Ou encore que vous avez eu de la chance, mais ça personnellement je n’y crois pas.



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ON TUE LES VIEUX



Placée dans le seul contexte économique, la vieillesse n’est plus envisagée qu’en termes de contraintes, de charges et d’inutilité.
La grande défausse des États permet un véritable génocide gériatrique sans culpabilité, parce que lorsqu’on est vieux on doit mourir. Un génocide silencieux perpétré grâce aux incohérences et aux maltraitances qui font tous les ans plus de morts que la canicule. De la prise en charge défaillante des vieux aux urgences à l’hécatombe des mauvaises orientations, sans parler des euthanasies, "tellement courantes, dit un médecin, que pour s’en convaincre il suffit d’aller dans les hôpitaux", tout contribue à accélérer leur fin.
Ceux qui survivent à l’hôpital se retrouvent dans des maisons de retraite inadaptées à leur prise en charge. Abandonnés sans soins dans des établissements sous-dotés en personnel, les vieux dénutris, sous-médicalisés et surmédicamentés ne font pas long feu. La justice ne condamne que rarement ces "dysfonctionnements institutionnels". La vie d’un vieux, au pire, ça vaut deux ans avec sursis. L’État se désengage d’autant plus volontiers du problème qu’il veut privatiser le secteur.
Reste à savoir à qui profite le crime. 
Un rapport de l’ONU sur les maltraitances subies par les personnes âgées dans le monde au cours des vingt dernières années confirme l’ampleur de ce phénomène, ainsi que le silence qui l’entoure.
Un silence coupable, à tous les niveaux de la société — médecins et médias compris —, sur un problème qui prend des proportions d’épidémie avec l’accélération du vieillissement de la population. Un sinistre secret qui pourrait bien être le dernier tabou du XXIe siècle. Trois ans d’enquête autour du monde auprès de gériatres et de professionnels de la santé, ainsi que de criminologues, d’avocats, d’anthropologues, de sociologues, d’économistes ont permis d’établir que la maltraitance des personnes âgées était universelle.
Et que dans le contexte de la mondialisation, les impératifs économiques de leur prise en charge conduisaient à un génocide silencieux, industrialisé et instrumentalisé.


QUOI ? MOI ? MA MORT VOUS INTERESSE !





La retraite, en terme militaire c’est en arrière toute, la déroute au son des tambours et au pas de course pour éviter « La mort aux trousses ». (Hitchcock 1959)

La retraite socio-professionnelle c’est la fin de « travailler plus pour gagner plus », ou moins, c’est selon ! 

Imaginons une personne de 65 ans et plus si affinité, toi (oui... le tutoiement est de rigueur maintenant, comme chez les djeuns) qui es en train de lire ces lignes, ou vous dans quelques années quand vous aurez atteint cet âge. L’échéance fatidique est arrivée, dorénavant il y aura 7 dimanches dans la semaine, et pour les prévoyants un salaire-retraite fixe qui tombe ric-rac chaque fin du mois. On a beau s’y être préparé, c’est un passage identique à l’adolescence, un saut dans l’inconnu, avec une différence majeure, cette fois au lieu de rentrer dans la vie active on en sort, dé-fi-ni-ti-ve-ment.

La vie professionnelle s’est terminée progressivement ou subitement, vous vous y êtes préparé et avez organisé votre retraite en conséquence, certains ont attendu ce moment avec impatience, d’autres avec appréhension. Un certain temps sera nécessaire pour réaliser et s’adapter à sa nouvelle condition de « retraité » mais peu à peu il faudra bien se rendre à l’évidence, ont est du 3ème âge et peut-être même un jour, du 4ème.

Une vie nouvelle commence, une nouvelle naissance en quelque sorte, avec un nouveau statut. 

Après gamin, ado, adulte, senior, maintenant c’est : pépé, pépère, vieux et petit vieux, vioc, vieux schnock, barbon, hooo !! sans oublier les vieilles dames : mémé, mémère, vieille taupe... hooo !! ou vieille chouette... hoo, hoooo

Et chaque décennie génère des génaires ; sexa, septua, octo, nona et ouf... centenaire.
Cela serait une erreur de croire que les acquis biologiques qui sont les vôtres au jour de la retraite sont définitifs, et que les entretenir pour les maintenir actifs et performants est suffisant. C’est une seconde erreur de croire que le déclin de ces mêmes capacités biologiques ; physiques, physiologiques et cérébrales, est inéluctable au fil des jours qui nous rapprochent du grand saut dans l’infini.
La déchéance biologique est une maladie de dégénérescence et comme toutes les autres maladies, elle peut être évitée en se conformant aux principes vitaux d’un certain art de vivre.
Placée dans le seul contexte politico-économique, la vieillesse n’est plus envisagée qu’en termes de contraintes, de charges et d’inutilité.
La grande inertie des États permet un véritable génocide gériatrique sans culpabilité, parce que lorsqu’on est vieux on doit mourir. Un génocide silencieux perpétré grâce aux incohérences et aux maltraitance qui font tous les ans plus de morts que la canicule. De la prise en charge défaillante des vieux aux urgences, à l’hécatombe des mauvaises orientations, sans parler des euthanasies « tellement courantes, dit un médecin, que pour s’en convaincre il suffit d’aller dans les hôpitaux », tout contribue à accélérer leur fin.
Ceux qui survivent à l’hôpital se retrouvent dans des maisons de retraite inadaptées à leur prise en charge. Abandonnés sans soins dans des établissements sous-dotés en personnel, les vieux débris, dénutris, sous-médicalisés et surmédicamentés ne font pas long feu. 
La justice ne condamne que rarement ces « dysfonctionnements institutionnels ». La vie d’un vieux ne vaut plus rien, “quedal, nibe“. L’État se désengage de ses responsabilités en privatisant le secteur. Reste à savoir à qui profite le crime. 
Là... il y a du monde qui nous attend…

OUI…Votre mort nous intéresse.




Les plus dangereux, ceux qui vous aiment et ceux qui veulent vous aider. Vos enfants et les services sociaux.

Un faux pas, un oubli, une casserole qui brûle ou un pull à l’envers et hop, direct, sans consentement mutuel, en « maison de surveillance pour vieux « pour ton bien papa ou maman ».

Les agences du voyage sans retour.






Les services suisses d’assistance au suicide DIGNITAS et EXIT, ils viennent de lancer une initiative populaire pour pouvoir entrer dans tous les EMS au bénéfice de subventions publiques.
Leurs buts : faciliter l’aide au suicide des résidents d’EMS qui en feraient la demande. Dans notre société où la durée de vie s’allonge et avec elle des pathologies comme Alzheimer et autres démences, cette initiative soulève des questions importantes, délicates, voire dérangeantes.
Choquante, excessive, inacceptable pour certains, cette initiative ouvre un débat public sur la pratique – encore relativement taboue – de l’assistance au suicide en fin de vie.

                                                                           


                         

La polémique fait rage dans la plupart des pays européens concernant le droit au suicide assisté pour des personnes en fin de vie. En Suisse où ce droit est déjà acquis à titre privé, on veut aller encore plus loin, apporter cet ultime service, au cœur du problème, là où il y a la plus grande densité de demandeurs au bout du rouleau : dans les EMS (établissements médicaux sociaux). 
Reportages, films, témoignages sur ces hôtels du dernier voyage, d’où l’on ne ressort qu’allongé dans un corbillard, sont de plus en plus présents dans les médias. Après les avoir entendus et visionnés – si vous en avez le courage – s’il vous restait encore un peu d’espoir pour vos derniers jours, celui-ci aura définitivement disparu. Ne subsistent alors qu’angoisse et désespérance pour votre propre fin. Pour accepter cette triste destinée, ne reste que le déni (je ne veux pas le savoir), ou une chance aléatoire de ne pas en arriver à cette terrible extrémité.
C’est cette résignation morbide, qui malheureusement, contribue à considérer une fin de vie en EMS comme normale, un mal nécessaire auquel la plupart d’entre nous doivent s’attendre. Mais ce qu’il faut bien savoir, c’est que rentrer dans de tel établissement et déjà une sorte de suicide social. Dès la porte franchie, vous n’êtes plus maître de votre destin et encore moins de votre mort, suicide ou pas.
Alors suicide assisté en EMS ou soins palliatifs, là n’est pas la véritable question. La seule est unique interrogation que l’on doit se poser, c’est… est-il possible d’éviter cette tragique dernière séquence et si oui ? Comment ?


Alors non.…pas ça, je préfère encore le scénario “Soleil Vert“ de Fletcher : Vous savez les pilules vertes fabriquées avec des protéines humaine prélevée sur des personnes euthanasiées en masse.
Mais tout n’est pas perdu… La formule magique existe.

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LA TRILOGIE POUR BIEN VIEILLIR 


Un projet, positif, motivant, important pour vous et pour votre entourage.
Manger - Bouger - Créer
Graver dans votre mémoire ces trois mots magiques.

Manger  =  C’est toujours faire sa propre cuisine.
Bouger  =  C’est l’aptitude à se déplacer et à se mouvoir librement.
Créer    =  C’est penser – choisir et décider pour soi.


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BIEN VIEILLIR C’EST DONC… RESTER LIBRE A..B..S..O..L..U..M..E..N..T. 
  • Pour manger correctement et faire sa propre cuisine
  • Pour bouger et se déplacer sans l’aide de personne
  • Pour penser, créer et décider pour soi.




Lorsque vous devenez dépendant vous perdez ces trois libertés, et vous êtes fini. N’attendez pas cette échéance, préparez-vous avant qu’il ne soit trop tard,
À eux trois ils représentent la raison d’être de ce choix de vie. La liberté commence avant tout par sa propre liberté décisionnelle. Aucun des trois n’est prioritaire, ils sont interdépendants, si un seul fait défaut, nous perdons cette liberté parce que nous perdons la faculté d’autodétermination.
Marcher, manger, penser par personne interposée. Finir sa vie en fauteuil roulant dans un E.M.S. (Établissement médical-social, ou mouroir pour vieux) à la merci d’aides-soignantes pressées, ce n’est pas la bonne voie, ce n’est pas notre choix et ce n’est pas une fatalité.
Vous comprenez pourquoi j’ai appris l’informatique à 65 ans, que j’écris chaque jour depuis cette époque et que vous avez le privilège de lire mes mémoires ici sur ce blog ou chez vous confortablement installé sur votre canapé avec une tablette de lecture sur les genoux et un coussin derrière la nuque.





POINT N°1 - MANGER.

Mais quoi ? et Comment ?
C’est le domaine le plus familier et pourtant le plus ignoré. Bien que la cuisine ne devrait plus avoir de secret pour nous, l’entrée dans cette 3ème phase nécessite une réadaptation fondamentale dans la manière de se nourrir. L’âge et la rupture avec les activités professionnelles passées, entraînent obligatoirement de profonds changements dans notre mode de vie habituel, changements qui vont se répercuter petit à petit sur notre métabolisme. Les besoins nutritionnels doivent être adaptés à ces nouvelles conditions et dorénavant c’est une alimentation d’entretien plutôt qu’énergétique qui est prioritaire.
Mais avant tout, l’élément vital indispensable, c’est de toujours préparer soi-même ses repas, quoi qu’il arrive, ne laissez jamais une personne préparer vos repas, il n’y a que vous à connaître vos besoins, les erreurs à ce niveau peuvent être fatales. Dans un couple, il est conseillé de préparer à tour de rôle les repas, l’harmonie n’en sera que meilleure.

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Programme d’une journée type :
  • 6 h.    : Réveil – Do-in - Yoga et méditation.
  • 7 h.    : Toilette : Auto-diagnostic visuelle–douche–contrôle du poids.
  • Petit-déjeuner : soupe Miso – galettes de riz ou porridge, muesli.
  • Ménage, vaisselle, soins aux plantes vertes
  • Marche dans la nature (1h.).
  • Activité créatrice. Travail de bureau–correspondance.
  • Préparation du repas.
  • 12h. Repas de midi.
  • Lecture – musique ou sieste de 1 heure.
  • Marche–promenade–sport ( 2h.)
  • Activité  cérébrale créatrice.
  • 18 h. Repas.
  • Loisir : Musique–TV–discussion–méditation
  • 22 h. – Coucher.
Lever à six , dîner à dix. Souper à six, coucher à  dix , font vivre dix  fois dix.
“ Victor Hugo “ . Ici, le talent de l’écrivain rejoint la sagesse populaire dans une convergence parfaite avec les biorythmes énergétiques naturels.
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Ce sont ici des généralités, car il y a différentes formes de vieillesse et de "vieillards". Il y a ceux qui se laissent vieillir et il y a ceux qui restent actifs et dynamiques. Ces derniers pourront se permettre un peu plus d’écarts, car ils "consomment" plus. Mais on trouve chez tous une constante, le temps qui passe marque son empreinte dont voici les principales caractéristiques :
Il y a chez la plupart une diminution du poids, les vieux deviennent secs et ceux, plus rares, qui restent gros, ont choisi leur façon de disparaître. Ils auront des troubles du métabolisme et comme la circulation et l’ensemble des vaisseaux ne sont plus au top, ce sera très certainement une des raisons de leur disparition.
Le renouvellement des cellules se ralentit et ce sont tous les tissus qui en souffrent. Les organes comme les vaisseaux perdent leur souplesse et les gros vaisseaux, comme l’aorte par exemple, perdent peu à peu leur élasticité et se chargent de sels calcaires et de cholestérol. On peut dire que l’état de vieillesse correspond à l’état de ces vaisseaux.  Plus la circulation se ralentit, plus elle est difficile, et plus la personne est "vieille". Et on peut presque dire que l’hypertension est un remède contre le vieillissement en maintenant un débit sanguin important et rapide. Mais je vous rassure tout de suite, c’est quand même une maladie que je ne conseille à personne, mais qu’hélas, on retrouve chez beaucoup de personnes âgées.
Sur les glandes endocrines, il y a également un vieillissement, les sécrétions sont moins abondantes, mais pas inexistantes. Thyroïde, hypophyse, testicules, ovaires, surrénales, ont commencé à régresser autour de la cinquantaine. Mais là aussi on trouve de grandes différences, car la sexualité par exemple disparait très tôt chez certains, alors que chez d’autres, et la plupart je pense, la sexualité peut s’exercer jusqu’à un âge avancé.
Les ganglions, la rate et la moelle épinière diminuent leur activité et fabriquent de moins en moins de globules blancs.
On trouve aussi dans le squelette une diminution de la réserve calcaire et donc les os deviennent plus fragiles naturellement. Ceci explique la fréquence des fractures du col du fémur ainsi que les affaissements de la colonne vertébrale. Il faudra donc veiller à un apport calcique assimilable pour remédier à ce constat inéluctable.
Le tube digestif, lui aussi, ralentit son activité et toutes les sécrétions diminuent, il y a donc un pouvoir digestif diminué.
Et puis les signes visibles, de la peau qui devient sèche et rugueuse, des cheveux qui tombent et blanchissent. Ils sont la résultante de la mauvaise circulation et du ralentissement du fonctionnement des glandes endocrines.
Tout ceci entraîne des réactions de l’organisme ralenties également. Par exemple nous ne verrons plus de grosses réactions d’éliminations comme chez les jeunes avec fièvre à 40 °. Ici ce sont plutôt des maladies chroniques, longues et difficiles à guérir et toutes sortes de petits troubles dus au ralentissement du métabolisme et de la circulation.

***

Les besoins spécifiques des seniors

Les seniors ont des besoins nutritionnels spécifiques. Ils doivent être vigilants afin d’éviter les carences. Quels sont les aliments privilégiés et les risques propres à l’âge ? Le régime alimentaire des seniors doit à la fois être varié et adapté. 
Des risques spécifiques 
Les seniors doivent être particulièrement vigilants à propos de différents problèmes liés à l’alimentation. Ainsi ils doivent faire attention :
  • Au risque de déshydratation ;
  • Aux problèmes de constipation ;
  • Au surpoids, car ils peuvent être source de problème cardio-vasculaire.
  • À l’apparition de diabète non insulino-dependant et d’hypertension.
  • Ou au contraire à une anorexie progressive par manque d’appétit et difficulté de cuisiner qui peut engendre de l’hypotension et l’hémogliase (sang trop épais)
  • L’acidose, souvent totalement ignorée, est la cause de la plupart des douleurs articulaires, rhumatisme, arthrite, arthrose, polyarthrite, etc.

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L’ALIMENTATION :

Il faudra la régler en fonction de l’état physiologique de l’individu. On ne mangera pas à 60 ans comme à 90. En règle générale il faudra rechercher les aliments qui accélèrent la circulation sanguine, qui ne génèrent pas trop de déchets dans les vaisseaux, (graisses animales riches en cholestérol, graisses cuites) et éviter ceux qui nécessitent une grosse fatigue digestive.
Le vieillard devra fuir la suralimentation. On peut dire aussi que tout le monde devrait la fuir, mais le vieillard, lui, ne peut plus assumer l’assimilation ni l’élimination et elle devient donc pour lui encore plus néfaste. De même que les changements brusques d’alimentation. Son organisme ne peut plus s’adapter aussi rapidement et s’il doit y avoir des changements impérieux, ils devront se faire lentement pour que son organisme ait le temps de s’adapter.
Si un vieillard veut se nettoyer, il devra privilégier plutôt les monodiètes que le jeûne, car les carences chez lui sont devenues insupportables. Et une monodiète sera plus douce, car tout doit se faire en douceur.
Nous avons vu par ailleurs que les farineux avaient tendance à favoriser l’hémogliase, c’est-à-dire à épaissir le sang, donc à diminuer la rapidité de la circulation sanguine. Exactement ce qu’il ne faut pas chez la personne âgée qui en souffre déjà. Donc en conclusion, et surtout chez le sédentaire, réduire au maximum la consommation de tous les farineux, les sucres, les légumineuses et les graisses animales. Se méfier de la viande et des oeufs (riches en cholestérol). Adaptation difficile à tous les excitants (alcool, café, etc.). Augmenter au contraire la ration de crudités. Manger le moins possible, mais de tout.
En dehors de l’alimentation, il est absolument indispensable de continuer une activité physique le plus longtemps possible (sport, jardinage, randonnée, promenade, etc.). De même qu’il est impératif de conserver une activité cérébrale. Et une activité tout court car on peut être utile à tout âge, créer et cultiver l’optimisme.

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LES ALIMENTS :

Conseillés : Pommes de terre, les farines blutées à 75 %, toutes les céréales, châtaignes, mais nous avons vu qu’il n’en faut pas trop.
Les viandes plutôt blanches, grillées, et pas au repas du soir. Des oeufs, mais pas trop. Un peu de légumineuses, pois, lentilles, 
Un peu de beurre cru, huile d’olive, d’arachide, de colza, de noix, de maïs, de pépins de courge, de germe de blé. Quelques olives, noisettes, noix, amandes.
Pratiquement tous les légumes. À privilégier, carottes, artichauts, épinards, haricots verts,  salades vertes, persil, ail et oignon, tomates. Manger des fruits. Prendre des fruits de saison et très mûrs. Privilégier les fruits non acides.
Comme boisson l’eau est la meilleure des boissons. On peut utiliser aussi les jus de fruits. Il ne faut pas se priver non plus d’un peu de boissons fermentées comme la bière, le vin le cidre, toujours en très petite quantité.
Déconseillés : Les farines complètes sont à proscrire,  car le pouvoir digestif est diminué et l’intestin en souffrirait. Les flocons d’avoine sont trop échauffants. éliminer le sucre blanc.
Excès d’oeufs. Éliminer la viande de porc au maximum (trop grasse), le lard, les foie, cervelle, ris de veau, gibiers, langouste, caviar. Toutes les graisses cuites, animales et autres, et les bouillons gras en général.
Encore mieux, si vous êtes prêt, devenez VEGAN ou encore mieux BMV.

B = Bio (logique)
M = Macro (biotique)
V = Vegan (niste)

Voilà, vous avez compris, le sigle BMV est plus facile à mémoriser.
Consommer modérément les légumineuses. Haricots secs, pois secs, borlotti, etc. difficile à digérer à partir d’un certain âge.
Éviter de consommer l’oseille et la rhubarbe qui sont acides et décalcifiantes.
Il faut savoir que les légumes blancs sont pauvres en principes minéralisant et donc ne pas en consommer beaucoup. Par exemple les raves, navets, betteraves, salsifis, céleri rave, etc.
Ne pas exagérer sur les fruits acides, surtout ceux qui ne sont pas bien mûrs, comme le citron, orange, groseilles, prune, tomate.
Comme boisson à proscrire, le café, les boissons dites toniques comme le coca-cola, tous les alcools distillés.

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POINT N°2 – BOUGER.

La seconde liberté après celle de manger, c’est bien évidemment de se déplacer, seul et debout sur ses jambes si possible. Se mouvoir sans contrainte et sans douleur est un rare privilège dans nos sociétés modernes.
Surveiller son corps, être attentif aux petites douleurs qui apparaissent de temps en temps, corriger ou adapter éventuellement son alimentation en fonction d’un déséquilibre passager est un préalable essentiel que tout le monde devrait mettre en pratique constamment.





Pour vous aider dans cette démarche, vous devriez avoir, depuis longtemps, intégré certaines techniques corporelles complémentaires comme le Do-in, le Taï-Chi ou le Yoga. Pratiquer chaque jour 1/2 heure, un de ces exercices, complétés par une marche d’une à deux heures, maintiendra souplesse et vigueur corporelle jusqu’au grand repos.

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 Le meilleur moyen, si vous aimez les bêtes, c’est encore de prendre un chien, des balades régulières et par tous les temps vous fera le plus grand bien et Médor et votre coeur vous en seront reconnaissants.


Technique créative, méditation, cuisine adaptée et exercice énergétique ne s’apprennent pas en un jour, pour que ces activités soient bien intégrées dans vos occupations journalières, cela nécessite une démarche de longue haleine, plus vous vous y prendrez tôt meilleure sera l’efficacit

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POINT 3 – PENSER ET CRÉER 




«Tant que vous avez quelque chose à créer, 

vous ne mourrez pas »

Cependant pour tester la vitalité de vos capacités intellectuelles le plus efficacement possible le moment de la retraite arrivé, lancez-vous un ultime défi, sautez dans l’inconnu et faites quelque chose de totalement nouveau, en dehors de toute logique, avec passion, irrationnelle et fou. Apprendre une langue étrangère — étudier l’informatique ou l’astronomie — écrire un livre — faire de la peinture ou de la sculpture.


Mon parc informatique Apple en 2014.



L’informatique c’est facile, même notre petite chienne “Gipsy“ si est mise.

Les gens sont souvent assez réticents pour apprendre de nouvelles choses qui leur semblent compliquées ; il en va ainsi par exemple de l’informatique, matière qui a le pouvoir d’effrayer le plus grand nombre par sa prétendue complexité. Mais en fait il en est ainsi de tous les domaines d’étude dignes de ce nom, des mathématiques à l’apprentissage du chinois, de la biochimie à l’étude de la conscience métaphysique chez les présocratiques.
Conserver l’aptitude de penser, assortie d’une profonde capacité de réflexion, jusqu’au bout du chemin, semble en règle générale tenir du miracle ou de la chance, mais en réalité cela fait partie de la normalité.




Depuis l’enfance, éducation et instruction nous cantonnent dans le rôle statique d’étudiants ou d’apprentis, répétant avec application leurs leçons. L’imagination créatrice sortant des chemins battus est une forme de liberté fort peu appréciée dans notre société, à moins que cela ne soit à l’intérieur du cadre bien défini des conventions.
L’art de vivre où tout est adaptation permanente développe la créativité, encore faut-il vouloir se remettre en question à chaque instant et ne pas devenir dogmatique en établissant de nouvelles règles rigides. Tout le monde peut développer sa créativité dans les domaines artistiques ou littéraires classiques, mais rien n’est comparable à la créativité dialectique qui permet d’inventer la Vie en élevant son niveau de conscience.
Un domaine où nous pouvons exercer notre créativité, c’est l’adaptation des recettes traditionnelles de votre cuisine régionale riche et goûteuse, en recettes diététiques mieux adaptées à votre condition actuelle. Mais créer des poèmes, tenir son journal, écrire un livre ou un blog, sont également de merveilleux moyens de maintenir une activité cérébrale performante.
À un niveau plus élevé, étudier les phénomènes universels et les sciences humaines sans contrainte de rentabilité, juste pour le fun ; physiques, chimiques, biologiques, ou historiques, sont véritablement fascinants et permettent d’éclairer et parfois de comprendre les secrets de la nature et les mystères de l’univers.
La créativité c’est la vie en marche, ne laissons jamais passer un jour sans créer quelque chose de nouveau. Afin de préserver le flux continu de pensées créatives et pour favoriser l’émergence d’idées nouvelles, il est indispensable de pacifier régulièrement son esprit. Le meilleur moyen pour y parvenir est bien sûr la méditation. Une heure de méditation chaque jour, est un véritable bain de jouvence cérébral et spirituel, chacun choisira la forme de méditation et la position qui lui conviendra le mieux : transcendantale, visualisation passive ou active, zazen, assis, couché, en lotus ou demi-lotus ou dans une chaise longue — à condition de ne pas s’endormir… !
Les gens sont souvent assez réticents pour apprendre de nouvelles choses qui leur semblent compliquées ; il en va ainsi par exemple de l’informatique, matière qui a le pouvoir d’effrayer le plus grand nombre par sa prétendue complexité. Mais en fait il en est ainsi de tous les domaines d’étude dignes de ce nom, des mathématiques à l’apprentissage du chinois, de la biochimie à l’étude de la conscience métaphysique chez les présocratiques.
Ce qui effraie, c’est principalement l’ampleur de la tâche à accomplir ; cette vision provoque la plupart du temps découragement, on laisse alors tomber à cause d’un mélange de peur et de fainéantise. En fait l’intérêt de tout apprentissage devrait justement être proportionnel à l’ampleur de l’étude à accomplir ; la satisfaction résultante n’en est que plus grande, la réussite dans cette épreuve permettant d’en aborder une encore plus ardue et ainsi de suite. C’est la progression, l’évolution de la connaissance et de la conscience de l’individu vers quelque chose qui n’est bien sûr pas le bonheur terrestre tel qu’il se conçoit souvent grossièrement (argent, voiture, vacances…), quelque chose qui tient d’un accomplissement intellectuel. Une évolution qui malheureusement ne se généralise pas forcément dans la nature humaine, la plupart des individus ayant renoncé à apprendre dès la fin de leurs études, écœurés par des années d’apprentissage qu’ils n’ont pas su apprécier ; parfois même ils n’ont jamais réussi à apprendre, un manque de curiosité intellectuelle innée les ayant empêchés de pouvoir apprécier l’apprentissage d’une quelconque matière dès le plus jeune âge.
À l’âge adulte, la plupart des emplois sont bien entendu des entraves au développement de l’appétit d’apprentissage, le salarié groggy et hagard ne rentre le soir chez lui que pour  s’effondrer sur son canapé et garder le plus possible son cerveau dans l’état d’hibernation intellectuelle dans lequel il a été toute la journée en regardant la télé ; de toute façon il ne saurait tenir tout effort intellectuel plus de quelques minutes.
Alors, apprendre surtout pour rester lucide, garder cette conscience en éveil, découvrir des horizons nouveaux qui sont autant de moyens de ne pas être englouti par le sable mouvant de la renonciation intellectuelle, garder une pensée saine et complète et parer toute maladie mentale de la vieillesse, tristes représentations de la déliquescence de la raison qui s’est oubliée sur le chemin des âges.
Comme nous pouvons le constater, les créatifs, les artistes, les inventifs… sont des personnages qui vivent jusqu’à un âge très avancé, souvent plus de 90 ans.
Il y a deux raisons à cela.  
Primo : La réflexion et la création permanente favorisent la production de nouveaux neurones et multiplient leurs interconnections. (synapses)
Secundo : Quand la faucheuse se pointe devant votre porte, il y a toujours un travail à terminer, vous êtes trop occupé. 


          


Repasse un autre jour; je n’ai pas encore achevé ma dernière création.

Finalement, la mort va vous oublier. 

***

Encore quelques recommandations


          On ne transplante pas les vieilles plantes sans risque


Certains retraités disposent de revenus confortables leur permettant de voyager dans des pays lointains.



 D'autres déménagent dans des zones climatiques chaudes, dans des pays au taux de change favorable pour avoir une vie plus agréable et profiter de leur capital plus longtemps.  (c’est ce qu’ils croient)
Bien que chacun soit libre de vivre sa retraite comme il l’entend, sachez que c’est un risque important qui n’est jamais pris en compte. On ne transplante pas une plante bien adaptée à son environnement, du jour au lendemain, dans un nouveau lieu sans perturber profondément son métabolisme.


                      Souvent la plante dépérit et meurt


Plus le changement alimentaire et climatique et important,  plus cela demande un gros effort d’adaptation et une grande dépense d’énergie vitale ce qui raccourcit d’autant votre espérance de vie. 
Cela dit, moyennant quelque précaution, il est possible de remédier à ce risque.
Vivez le plus possible comme les autochtones, étudiez leurs coutumes ancestrales, leurs habitudes alimentaires, leurs habitations, etc.
Je vous souhaite de passer une longue retraite enrichissante, libre et en santé.
Vivre plus longtemps c’est bien, encore faut-il aimer la Vie.
Merci aux aventuriers, pionniers d’un Nouveau Monde possible.
Soyez fou ou sage, essayez, la vie est une grande aventure.
En ce qui me concerne, je n’ai pas d’autre choix que de me passionner pour le futur étant donné que je vais y passer le restant de mes jours.


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SOINS ET TRAITEMENTS 


PRÉVENIR VAUT MIEUX QUE GUÉRIR

L’ORIGINE DES MALADIES



Existe-t-il un état sans maladie ? dans l’absolu ...oui, mais en réalité il est pratiquement impossible, pour l’homme, d’en retrouver la source, bien que l’art de vivre macrobiotique nous en montre une approche crédible et efficace elle est toujours malgré tout partielle.
Pour découvrir le modèle original, il faut faire appel aux grandes lois de l’évolution, telles que les ont définies les deux grands naturalistes du 19ème siècle, Darwin et Lamarck.  
Comme on la souvent dit la nature a horreur du vide, chaque case du grand échiquier doit être remplie par une case noire une case blanche, une case yin une case yang, et ceci à tous les niveaux de la création ; du monde des éléments au monde des végétaux, puis à celui des animaux.
Restons dans le monde du vivant. Au cours du milliard d’années d’évolution, le développement du règne végétal et animal s’est fait à travers plusieurs milliards d’espèces, depuis les premiers simples monocellulaires, jusqu’au plus complexe des mammifères pour aboutir finalement il y a 500 000 ans à la quintessence de l’évolution, l’Homo Habilis. 
Chaque espèce occupe son espace vital, sa niche écologique, conquise de haute lutte par la sélection naturelle induite par la compétition, les mutations et l’adaptation aux conditions du milieu. 
Avant l’apparition de l’homme, il ne restait plus aucune case de libre, tous les créneaux étaient occupés de bas en haut de l’échelle biologique. À cette époque, qu’on peut qualifier d’Eden, la maladie n’existait pas. Chaque espèce était protégée et se protégeait mutuellement, totalement immunisée par les lois de la sélection naturelle. Une seule condition à cette protection, ne jamais sortir de sa de sa niche écologique dans zone vitale.  Enfreindre cette règle signifiait, envahir un espace déjà occupée par une autre espèce forcément mieux adaptée, l’intrus était alors rejeté par un affaiblissement de ses défenses immunitaires provoquant des perturbations physiologiques dans son organisme, première étape vers la maladie qui finira par entraîner son élimination. À ce niveau il n’y a qu’une seule façon d’éviter la maladie et une mort prématurée, revenir à la case départ, dans sa propre zone vitale d’origine. 
Le premier être vivant à avoir enfreint cette loi, vous l’avez compris est l’ancêtre de l’homme, probablement un grand primate d’Afrique poussé par un brusque changement climatique a quitté les grands arbres de la forêt tropicale, sa zone vitale d’origine. Certainement que la plupart en son mort, tués par les prédateurs de la savane, intoxiqués par des aliments inconnus, piqués par des insectes leurs inoculant des bactéries et des virus contre lesquels ils n’étaient pas encore immunisés ou déshydratés par l’ardeur implacable du soleil en l’absence de l’ombre protectrice des sous-bois auquel ils étaient habitués. Malgré tout, quelques spécimens vont survivent à ces conditions extrêmes, c’est indubitable puisque nous sommes toujours là, après 4 millions d’années.
Depuis ces premiers pas dans les grandes plaines d’Afrique nous avons parcouru un long chemin, tant du point de vue géographique que généalogique. De la forêt africaine à l’ensemble de la planète, d’un grand singe à l’homo sapiens sapiens, il y a de quoi être fier et reconnaissant à toute la lignée de nos ancêtres pour avoir osé enfreindre et contraindre toutes les lois de la nature.
Mais comme nous le disons souvent en macrobiotique "plus grande la face plus grand le dos "et la face est si grande, alors quand est-il du dos. Le dos c’est l’extrême fragilité de la vie humaine continuellement attaquée par d’innombrables maladies. Jusque-là l’espèce humaine a réussi à survivre grâce à sa phénoménale ingéniosité et à un exceptionnel pouvoir d’adaptation. Il semble malheureusement que depuis quelques décennies, nous sommes arrivés au bout de notre marche en avant, ceci pour avoir oublié les lois dialectiques de la logique universelle en particulier la 4ème. "plus grande la face, plus grand le dos "ou encore à tout avantage correspond toujours un désavantage équivalent.
Maintenant toute l’intelligence, la persévérance, la volonté de la société humaine se trouve conditionnée et dirigée vers un seul objectif. Toujours plus ; plus de PROFIT, plus d’argent, plus de plaisir, plus de loisir, plus de confort, plus de sécurité, mangez plus, plus vite, plus loin, plus haut.
Ce n’est plus le bien-être des hommes qui compte, ni l’amélioration des conditions de vie de l’ensemble de la communauté, mais l’enrichissement envers et contre tous d’une minorité.
Cette déviance à amener les hommes à s’emparer de toutes les zones vitales existantes sous terre, sur terre, dans les mers, dans les airs, et à en expulser ou à en éliminer ses occupants légitimes.
La terre aujourd’hui ne représente plus qu’une seule et unique case, une seule zone non plus vitale, mais mortelle, avec un unique occupant illégitime : L’Homme.
Au cours de sont long voyage à la conquête de nouveaux espaces vitaux, l’homme ne sait jamais adapter naturellement, s’il a survécu c’est grâce à son intelligence supérieure qui lui a permis d’inventer des systèmes artificiels de substitution. Encore aujourd’hui aucune communauté humaine ne serait capable de vivre sans ces multiples béquilles que sont le chauffage, des vêtements, une maison, l’agriculture et l’élevage, la métallurgie, les armes et les outils, les médicaments, l’écriture et la communication,etc.,etc.
La surface de la planète a été entièrement transformée et adaptée à nos besoins, la plupart des forêts ont été rasées, des fleuves détournés, des mers asséchées. De gigantesques mégalopoles abritant des millions d’individus ont été construites, reliées par d’inextricables réseaux autoroutiers et ferroviaires déroulant leurs chemins de béton et de fer sur des milliers de kilomètres. Des vallées ont été fermées par de colossaux barrages, puis inondées afin de produire l’indispensable énergie nécessaire pour faire tourner le nouveau monde industriel de l’homme.
En quelques siècles l’homme a bouleversé la surface de la planète que la nature avait mis des millénaires à façonner. Par contre en ce qui concerne la physiologie et la morphologie de son propre corps, elle est pratiquement identique à peu de choses prêt aux australopithèques d’il y a 4 millions d’années. L’Homme nu dépouillé de ses protections artificielles est plus fragile qu’un oisillon tombé du nid.

Au cours de sa longue expansion géographique, l’espèce humaine a occupé toutes les zones vitales, végétales et animales, rencontrées sur son chemin. À chaque fois il les a exploitées jusqu’à l’extinction de leurs véritables occupants qui ont été mangés ou mis en esclavage (domestiqués).

En voilà une liste non exhaustive :
Mammouths – un des premiers à être chassé jusqu’à extinction.
Bisons —  tués jusqu’au dernier dans les plaines de l’Ouest Américain.
Loups — éliminés ou transformés en toutou.
Buffles — devenu vaches à lait.
Ours — chassés juste pour le plaisir.
Sangliers — réduit à un cochon pour ces deux jambons.
Cheval —  domestiqué.
Éléphant d’Afrique — tué pour ces deux canines d’ivoire.
Éléphant d’Asie — réduit à l’esclavage.
Baleine — exterminée.
Saumon — mis en cage et fumé.
Hermine — tes poils si doux conviennent aux rois.
Vison — ta fourrure soyeuse pour les belles joyeuses.
Singe — même notre ancêtre n’a pu éviter les cages des laboratoires. 
Des milliers d’espèces ont ainsi disparu ou sont proches de l’extinction. 
Selon les sources scientifiques officielles, 30 % du total des espèces ont déjà disparu. Dans certaines régions – Europe, Amérique du Nord, 80 % des espèces nobles, mammifères, poissons et oiseaux ont été exterminés.
En contrepartie, pour nous remercier, d’avoir été rayé de la liste des espèces vivantes, les disparus nous ont laissé un héritage ; leurs bactéries et leurs virus. 
Lorsque ceux-ci se trouvent dans une niche particulière, supprimer l’espèce animale ou végétale qui s’y trouve, on a alors un report microbiologique dans un milieu qui n’est pas adapté pour le combattre ou le neutraliser, on assiste alors à une multiplication aberrante. C’est alors l’homme qui en fait les frais. 
Voilà pourquoi. :
Plus nous oublions notre véritable origine
Plus nous nous approprions d’espace vital
Plus nous nous éloignons des modèles universels
Plus nous adoptons un mode de vie artificiel et exclusiviste,
Plus nous développerons de maladies.
Origine des maladies
Comme nous l’avons expliqué ci-dessus, les maladies ont toutes une origine commune ayant pour cause l’appropriation et l’occupation inconsidérée de zones vitales étrangères à l’espèce humaine.
Une fois une nouvelle zone occupée, il faut bien s’adapter aux nouvelles conditions pour pouvoir y survivre. Par conséquent, la première étape sont des maladies d’adaptation, qui se divisent elles-mêmes en deux branches :
a) les maladies nutritionnelles (aliments)
b) les maladies environnementales (climatiques).
c) Les dernières maladies apparurent récemment dans la société moderne, conséquence de la prolifération des maladies d’adaptation ; Les maladies iatrogènes. 
Elles sont dues aux traitements chimiques médicamenteux et aux soins collatéraux (rayons, radiations, lasers)
De nombreuses maladies ne sont plus classifiables, étant le résultat de l’accumulation et de l’interférence de plusieurs causes.
Partant de ce constat, il est possible de mieux comprendre le chemin de la guérison et de la santé. Bien que le retour aux conditions initiales des origines de l’homme ne soit plus possible, nous pouvons définir quelques règles, capables de nous protéger de la plupart des maladies.
Dans ces temps d’affaiblissement et de dégénérescence du potentiel vital humain, la meilleure protection, bien que méconnue est sans aucun doute d’appliquer les recommandations macrobiotiques.




Votre corps vous parle constamment, écoutez-le constamment. Si vous ne l’écoutez pas, il va se mettre à crier (de douleurs) puis à hurler et finalement devant l’absence de réaction et une bonne dose d’analgésiques et de médicaments chimiques il finira par se taire définitivement.
Ouf… je suis guéri pensez vous. Mais non, pas du tout, sournoisement au plus profond de votre corps une dégradation physiologique s‘opère, qui s’attaque aux organes les plus affaiblis, à vos racines les intestins, à votre liquide nourricier, le sang, à la pompe qui le fait circuler, le cœur et même à l’ordinateur de bord qui coordonne cet extraordinaire ensemble, le cerveau.
Avant d’en arriver à des détériorations inexorables handicapantes et parfois mortelles, apprenez à décrypter les signes avant-coureurs de la maladie lorsqu’ils sont encore bénins.
Pour ça il est nécessaire d’être attentif au langage de votre corps. Chaque douleur, chaque tache, chaque modification de l’épiderme font partie du langage corporel, cette langue est bien plus facile à apprendre que l’anglais ou l’italien.
Allo… ici votre corps appelle le standard de secours. Alerte, au secours, il y danger, des toxines envahissent mes intestins — il y a trop de sucre dans mon sang — je suis en acidose permanente, cet environnement est favorable à la prolifération de certaines bactéries nuisibles —  SOS il y a le feu, de la fumée âcre se répand dans mes poumons, je peux plus respirer — mais c’est quoi… qu’est-ce qui m’arrive, tout se brouille, j’hallucine, mon ordinateur cervical a bogué, il débloque, il déconne, de la poudre blanche se dépose sur mes neurones et les paralyse. 
Du calme, du calme, ce n’est pas le moment de vous affoler, de vous précipiter aux urgences ou d’avaler une de ces miraculeuses pilules anesthésiantes.
Non… Non… Non…Appliquons les méthodes de la police scientifique :
Investigation — Réflexion — Analyse — Diagnostic — Désintoxication — Réparation.
Analysons la scène du crime : l’appareil digestif, le plus souvent incriminé et essayons de diagnostiquer l’organe qui crie… ALERTE !
Pour communiquer, il existe également, depuis la nuit des temps, un langage — le langage des signes du corps. Cette langue ancienne se nomme « L’Art du diagnostic ».
ALERTE… en langage corporel se prononce : aïe…aïee…aïeee.



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Traitement et recommandation alimentaire.

Pour les personnes très malades nécessitant des ajustements personnalisés, nous recommandons de vous adresser à un conseiller macrobiotique expérimenté.
Si vous êtes suffisamment motivé, et il faut l’être fortement pour changer radicalement sa manière de vivre, de se comporter et de s’alimenter, alors commencez par étudier l’art de vivre macrobiotique, tel que je l’enseigne dans mon dernier livre que vous pouvez acheter sur ce site. Vous y trouverez un pas-à-pas vers la transition macrobiotique qui vous aidera dans votre démarche.

Repas :

Commencez avec l’assiette standard comme alimentation de base avec 2 repas par jour. 
Céréales : riz – millet – sarrasin – quinoa – polenta – couscous.
Légumes cuits : carottes – panais – rutabagas – céleris – potimarrons – pâtissons – courgettes – côtes de bettes – brocolis –  endives – poireaux - fenouils – cresson.
Légumes sauvages : dent-de-lion – orties – consoudes – plantains – chénopodes.
Légumineuses : uniquement des azukis et des lentilles (vertes, corail, brunes).
Algues : kombu – wakame – nori – hizikis – dulse.
Protéines végétales  : tofu – seitan – tempeh – humus – mochi – pâté de lentille.
Protéines animales :œufs – fromage de chèvre – poissons à chair blanche – fruits de mer.
Potages au miso avec légumes.

Eviter tous les fruits plus particulièrement : ananas, oranges, tous les fruits tropicaux.
Eviter les légumes suivant : Pommes de terre, tomates, aubergines, asperges, rhubarbe, légumes tropicaux.

Nourriture à éviter pour améliorer la santé :


  • Toute nourriture issue d’une production industrielle.
  • Tous les aliments traités chimiquement ou irradiés.
  • Tous les produits contenant des colorants et des conservateurs.
  • Tous les aliments raffinés, blanchis ou polis.
  • Tous les produits solubles instantanés.
  • Tous les moyens de conservation autres qu’artisanaux.
  • Tous les produits génétiquement modifiés.
  • Tous les produits carnés issus d’élevages intensifs,viandes,charcuterie,etc.
  • Tous les poissons élevés en pisciculture.
  • Tous les produits laitiers : lait, fromages, crème, yaourts, beurre, etc.
  • Tous les fruits et légumes tropicaux, frais ou secs.
  • Les fruits crus et leur jus, les légumes crus et leur jus.
  • Les boissons artificielles à base de coca ou gazéifiées.
  • Les cafés et thés contenant des arômes et des colorants.

  • Ne pas consommer d’huile crue.
  • Ne pas consommer de graisse animale cuite.
  • Ne pas consommer de beurre cuit (beurre noir).
  • Ne pas consommer d’algues crues.



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MANIPULATIONS ET DISSIMULATION


Rétablissons la vérité vraie. 


On ne peut pas reprocher à un industriel de passer son temps à réviser ses méthodes de production pour améliorer sa productivité et obtenir une meilleure satisfaction de ses clients. Imaginez, par exemple, que vous deviez produire des bougies pour les vendre sur le marché. Vous chercheriez sans doute la manière de les fabriquer mieux et plus vite et  d'acheter moins cher vos matières premières tout en conservant une qualité et une présentation qui satisferait vos clients.

Ce mouvement naturel d’amélioration du processus de production permet, entre autres, de faire baisser les prix et de satisfaire la demande d’un plus grand nombre de personnes. Il n’est donc pas critiquable… jusqu’au moment où la qualité du produit est tellement dégradée que la vente relève de la tromperie.

Dans le domaine de l’agro-alimentaire, ce mouvement d'amélioration du processus de production a eu lieu, comme partout, mais il a atteint de tels niveaux aujourd’hui qu’il relève plus de l’escroquerie que de l’optimisation. On a rogné sur tout, allant toujours vers le moins cher, vers le substitut, vers le « presque comme ». On est même allés un peu plus loin en ajoutant de faux goûts, de fausses couleurs. On a surdosé le sel, le sucre, le gras et accordé de moins en moins d’intérêt à la valeur nutritive finale des aliments.

Cette évolution ne s’est pas faite à l’insu des industriels du secteur, par une lente détérioration qui leur aurait échappé. Non, ils savaient très bien ce qu’ils faisaient puisqu’ils ont « oublié » pendant des années de mentionner sur leurs étiquettes les ingrédients qui fâchent. Et lorsqu’ils y ont été contraints par la loi, ils n’ont eu de cesse que d’essayer de la contourner.

Enquête après enquête, les manipulations, malversations et dissimulations des géants de l’agro-alimentaire sont révélées au grand public. Mais pourtant, on a le sentiment que rien ne change. Interrogés, les industriels raillent les critiques en disant que si ça continue, il leur faudra des emballages plus grands pour satisfaire aux demandes d’information et indiquer qu’ils n’ont pas ajouté de sel, de sucre, d’additifs, de colorants, de conservateurs, d’OGM, de graisses saturées… 
Qu’ils plaisantent si ça leur chante, mais c’est nous qui mangeons leurs saloperies. Nous aussi, nous aurions aimé n’avoir qu’une seule mention sur les paquets : « Bon au goût et bon pour la santé. » Nous aussi, nous aurions aimé leur faire confiance et acheter les yeux fermés. Mais notre confiance a été tellement trahie que nous ne les croirons sans doute plus jamais.
Certains ont fait fortune de cette manière – et je leur souhaite une retraite agréable –, moyennant quoi ils ont scié la branche sur laquelle leurs successeurs sont assis, et maintenant, ça tangue franchement. Leur seul espoir est de retarder la prise de conscience des consommateurs… et ça fonctionne encore pas mal. Mais quand je vois le nombre de médias qui soulèvent ces questions et s’en emparent, je me dis que les successeurs en question ont du mouron à se faire pour leur retraite à eux… s’ils ne la passent pas en prison.
Alexandre Imbert
Au dernière nouvelle, certain état des Etats-Unis compterait plus de 70% d’obèses d’ont 50% d’enfants. (Pennsylvanie). Le remède des politiques, taxer les boissons sucrée et les king-package (plus de 1lt.) Dans certain états, il est totalement impossible d’acheter de l’alimentation fraîche nature.
Ne compter pas sur les politiques pour mettre un frein à ce processus d’industrialisation de l’alimentation, qui est pourtant la cause du développement de nombreuses maladies et de dysfonctionnement, tel que l’obésité.

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À LA FIN DU COMPTE


Êtes-vous un… « Non pas ça ».




Si tu es arrivé jusque là, qui que tu sois — lecteur, curieux, détracteur, incrédule, — tu as déjà a moitié sauvé ta peau. Si tu mets en pratique le contenu de ces pages, tu peux sauver l’autre moitié.
Quand je dis sauver, cela n’a pas une connotation spirituelle, loin de là, c’est du concret, juste un fait que je m’efforce de démontrer depuis plus de 50 ans. Heureusement je ne suis pas le seul, de plus en plus d’éminents professeurs, de docteurs, de médecin, de chercheurs, tirent la cloche d’alarme.
Dong…ding…dong…
Mourir de rien, d’une mort naturelle à un âge avancé (disons entre 80 et 100 ans).c’est le but de ma démarche.
J’en conviens, c’est probablement une utopie, tant pis, même si vous n’êtes que quelques-un à sortir du troupeau des ignorants sacrifiés sur l’hôtel du profit capitaliste. Le reste du troupeau ou ce qui en restera ouvriront bien les yeux un jour, sinon il disparaitra.
Si vous êtes un « Nonpaça » sorti de la confrérie des zombies ou tout prêt d’en sortir, sachez qu’il a de l’espoir pour vous d’échapper à la dictature totalitaire du lobbyisme capitaliste -politico-médical qui nous maintient sous le joug de l’ignorance de la véritable santé. 
Ne vous bercez pas d’illusions fallacieuses sur l’efficacité des médicaments. Aucun des médicaments actuellement disponibles sur le marché n’a été conçu pour guérir, ce sont uniquement des paravents, des cache-misère.


Les cancers existent depuis des siècles, des milliers de médecins réputés ont passé leur vie à découvrir une méthode de guérison, aucun n’a jamais réussi, même pas les puissants laboratoires modernes disposant de fonds de recherche inépuisables.



Plus grande la face, plus grand le dos.
Plus grande est l’efficacité, plus important sont les effets secondaires.
À tout avantage correspond un dommage similaire.
Rien ni personne n’échappe à cette loi universelle.




 Mais l’espoir subsiste toujours, pour le plus grand bénéfice de l’industrie pharmaceutique.
Voilà ce que l’on peut lire sur un de leur site d’information du cancer :
Un jour viendra, du moins nous l’espérons, où ce fléau sera totalement vaincu grâce aux efforts conjugués des chimistes, des biologistes, des médecins, des physiciens et de bien d’autres disciplines….
Heureusement il y a une justice. Les lois Universelles.
Demain je rase gratuit…
Demain nous serons capables d’éliminer toutes les maladies.
Demain, bientôt, un jour viendra, prochainement, incessamment sous peu…etc., etc.
Et c’est pareil pour de nombreuses affections chroniques et mortelles.
Ne vous laissez pas convaincre par ces promesses 
La peste et le choléra n’ont pas été éradiqués à l’aide d’un quelconque médicament, mais uniquement grâce à l’hygiène urbaine et corporelle, aux toilettes, au tout-à-l’égout, aux W.C, et au savon.
Il n’existe qu’une seule façon de ne pas développer de maladies et même d’amorcer une rémission totale pour des maladies déjà installées : 

Menez une vie saine sans excès. Respectez votre corps et la Vie sous toutes ces formes.


Prenez conscience que la plupart des maladies sont dues à des abus alimentaires, des excès de boisson, des efforts trop violents dans le travail ou dans les sports de compétition. 



Voir la vidéo du Pr. H. Joyeux




Je vous souhaite une fin de vie sans souffrance dans la plénitude et la satisfaction d’avoir accompli votre karma jusqu’au bout. C’est possible je vous le garanti.

Et si vous le moment est venu, voilà…
Le bon  jour pour mourir -
« Aujourd’hui serait un jour parfait pour mourir –ni trop chaud ni trop froid. Un jour pour laisser quelque chose qui subsiste derrière vous, qui s’attarde un peu…Un jour pour un homme qui a la chance d’arriver au bout de sa route. Pour un homme heureux comptant beaucoup d’amis. Il y a des jours moins favorables. Ils sont faits pour les hommes égoïstes et solitaires qui ont du mal à quitter cette terre. Mais je suppose que pour les Blancs n’importe quel jour est un mauvais jour pour mourir », 
Prière des Sioux Lakotas 



Salut et merci de m’avoir suivi jusque-là.


Gérard Wenker - Octobre 2016



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Liens qui vous dirigerons vers des sites de médecine non conventionnel.




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